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Madame S - Occasion
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- Nombre de pages409
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.22 kg
- Dimensions10,9 cm × 17,7 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-37913-111-0
- EAN9782379131110
- Date de parution03/03/2022
- CollectionMon poche
- ÉditeurMon poche
Résumé
C'est une histoire bien française. Le 16 février 1899, à l'Elysée, Félix Faure s'étouffe de plaisir dans les bras de sa maîtresse, une certaine Mme Steinheil. "Le Président a-t-il encore sa connaissance ? Non, elle est sortie par l'escalier de service." Clemenceau commente : "Il se voulait César, il ne fut que Pompée." Mais qui était cette mystérieuse Madame S ? Assurément pas une cocotte. Héritière d'une grande famille d'industriels protestants, mariée trop jeune à un peintre trop vieux, Madame S est alors la coqueluche du Tout-Paris politique.
Sur fond d'affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s'installe au coeur du pouvoir et des secrets d'Etat. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Epouse un lord anglais, s'installe à Brighton et finit enlevée au Maroc... Sa vie est un roman.
Sur fond d'affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s'installe au coeur du pouvoir et des secrets d'Etat. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Epouse un lord anglais, s'installe à Brighton et finit enlevée au Maroc... Sa vie est un roman.
C'est une histoire bien française. Le 16 février 1899, à l'Elysée, Félix Faure s'étouffe de plaisir dans les bras de sa maîtresse, une certaine Mme Steinheil. "Le Président a-t-il encore sa connaissance ? Non, elle est sortie par l'escalier de service." Clemenceau commente : "Il se voulait César, il ne fut que Pompée." Mais qui était cette mystérieuse Madame S ? Assurément pas une cocotte. Héritière d'une grande famille d'industriels protestants, mariée trop jeune à un peintre trop vieux, Madame S est alors la coqueluche du Tout-Paris politique.
Sur fond d'affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s'installe au coeur du pouvoir et des secrets d'Etat. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Epouse un lord anglais, s'installe à Brighton et finit enlevée au Maroc... Sa vie est un roman.
Sur fond d'affaire Dreyfus, elle se rapproche de Félix Faure et s'installe au coeur du pouvoir et des secrets d'Etat. Après la mort du Président, elle disparaît. On la retrouve neuf ans plus tard, accusée du meurtre de sa mère et de son mari. Elle est emprisonnée, jugée, innocentée. Disparaît encore. Epouse un lord anglais, s'installe à Brighton et finit enlevée au Maroc... Sa vie est un roman.
Avis librairesCommentaires laissés par les libraires
1 Coup de cœur
de nos libraires
Charlotte F.— Decitre Ecully
4/5
“ La Belle Époque et ses mensonges d’État ”
Ce roman approfondit une période historique connue sous le terme de « Belle Époque », cette période de paix comprise entre la fin de la guerre franco-prussienne de 1870 et le début de la Grande Guerre de 1914. Notre auteure, Sylvie Lausberg, nous fait entrer dans l’intimité de Félix Faure, Président de la République qui meurt en fonction, à l’Elysée, le 16 février 1899. Hélène Carrère d’Encausse dans « La Russie et la France » nous le présentait déjà comme une figure politique forte pour l’image de la France à l’International. Cette intimité, c’est Marguerite Japy-Steinheil, sa maîtresse, à qui il dicte et confie ses Mémoires, jamais retrouvées ! Qui avait à ce point intérêt à accuser Mme Steinheil d’un crime crapuleux ?
Le romanesque et l’intrigue sont très prenants dans ce premier roman : les secrets d’État comme l’Affaire Dreyfus et ses rebondissements, les complots et crimes en tous genres, cette époque où le monde politique se déchire entre une France catholique monarchique antisémite et une France de la haute bourgeoisie protestante et républicaine, tout y est décrit avec un suspens permanent quant à la recherche de la vérité. Un très bon moment de lecture.
Ce roman approfondit une période historique connue sous le terme de « Belle Époque », cette période de paix comprise entre la fin de la guerre franco-prussienne de 1870 et le début de la Grande Guerre de 1914. Notre auteure, Sylvie Lausberg, nous fait entrer dans l’intimité de Félix Faure, Président de la République qui meurt en fonction, à l’Elysée, le 16 février 1899. Hélène Carrère d’Encausse dans « La Russie et la France » nous le présentait déjà comme une figure politique forte pour l’image de la France à l’International. Cette intimité, c’est Marguerite Japy-Steinheil, sa maîtresse, à qui il dicte et confie ses Mémoires, jamais retrouvées ! Qui avait à ce point intérêt à accuser Mme Steinheil d’un crime crapuleux ?
Le romanesque et l’intrigue sont très prenants dans ce premier roman : les secrets d’État comme l’Affaire Dreyfus et ses rebondissements, les complots et crimes en tous genres, cette époque où le monde politique se déchire entre une France catholique monarchique antisémite et une France de la haute bourgeoisie protestante et républicaine, tout y est décrit avec un suspens permanent quant à la recherche de la vérité. Un très bon moment de lecture.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
0/5
4/5
“ Scandaleusement libre ”
Engagée dans un mariage sans amour sous la pression familiale et des convenances, Marguerite de Steinheil ne compte pas mener une vie triste et ennuyeuse. Les scandales de sa vie (le président Félix Faure serait mort dans ses bras) sont retracés par Sylvie Lausberg. Une enquête rondement menée qui reconnaît à l'histoire qu'il y a toujours des femmes qui tirent les ficelles.
Engagée dans un mariage sans amour sous la pression familiale et des convenances, Marguerite de Steinheil ne compte pas mener une vie triste et ennuyeuse. Les scandales de sa vie (le président Félix Faure serait mort dans ses bras) sont retracés par Sylvie Lausberg. Une enquête rondement menée qui reconnaît à l'histoire qu'il y a toujours des femmes qui tirent les ficelles.
