Madame, il fallait partir

Par : Céline Marcovici
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  • Nombre de pages162
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7096-6771-5
  • EAN9782709667715
  • Date de parution04/11/2020
  • CollectionTémoignage
  • ÉditeurJC Lattès

Résumé

Comment la justice achève les femmes victimes de violences conjugales Pousser la porte d'un commissariat permettra à une femme de faire cesser les violences conjugales. Enclencher une procédure judiciaire lui garantira protection et équité. Ca, c'est ce que l'on croit. Car, en réalité, trop souvent, la femme qui trouve le courage de se tourner vers la justice signe pour un nouveau calvaire. Céline Marcovici, avocate, connaît bien ces femmes qui osent dire stop mais se heurtent au labyrinthe de la justice, à ses rouages, à sa méconnaissance des violences conjugales, à son manque de moyens.
Son livre est entrecoupé de témoignages bouleversants. Beaucoup ont entendu cet étonnement dans le cadre d'un tribunal : "Mais Madame, il fallait partir" . Tous les Grenelle du monde n'y changeront rien : le sort des femmes victimes de violences conjugales ne sera pas allégé tant que la justice ne sera pas réellement formée pour entendre leur souffrance, démultipliée au moment du confinement.
Comment la justice achève les femmes victimes de violences conjugales Pousser la porte d'un commissariat permettra à une femme de faire cesser les violences conjugales. Enclencher une procédure judiciaire lui garantira protection et équité. Ca, c'est ce que l'on croit. Car, en réalité, trop souvent, la femme qui trouve le courage de se tourner vers la justice signe pour un nouveau calvaire. Céline Marcovici, avocate, connaît bien ces femmes qui osent dire stop mais se heurtent au labyrinthe de la justice, à ses rouages, à sa méconnaissance des violences conjugales, à son manque de moyens.
Son livre est entrecoupé de témoignages bouleversants. Beaucoup ont entendu cet étonnement dans le cadre d'un tribunal : "Mais Madame, il fallait partir" . Tous les Grenelle du monde n'y changeront rien : le sort des femmes victimes de violences conjugales ne sera pas allégé tant que la justice ne sera pas réellement formée pour entendre leur souffrance, démultipliée au moment du confinement.