Un récit à la première personne raconte l'histoire d'un homme, qui vient de perdre sa mère. Quel plus grand bouleversement dans une vie et dans le même temps quel passage incontournable auquel chacun devrait se préparer ? Chacun cherche un lieu fort et puissant où se reconstruire. Pour le narrateur, ce sera le Mont Athos, cette montagne sacrée et si puissante du monde orthodoxe, où ne vivent depuis des siècles que des hommes.
C'est un monde entre hommes et pour les hommes. Accompagné d'un ami de classe, Aristote, le bien nommé, Julien va plonger dans ce cadre fécond et y faire de splendides rencontres humaines. A commencer par Macarios, ce vieux prêtre tenant un monastère dans la forêt d'Athos. Il bouleversera sa vie et ses certitudes. Lui, mais aussi Cristobal au monastère d'Iveron. Relations humaine et physiques, ces liens vont déstabiliser les êtres.
Mais, il faudra rentrer, quitter ce temple de l'âme, avec de nouvelles armes, et pour se protéger, afin d'affronter de nouveau la "vraie" vie et se reconstruire. C'est ce que le narrateur décidera de faire la mort dans l'âme, abandonnant Macarios sur son île de la virilité, abandonnant l'idéal de jouissance à ne "rien" faire, pour se frotter de nouveau à Paris, la dure, l'égoïste, l'individuelle. La mort de la mère du narrateur n'est plus uniquement un drame, elle est désormais un piédestal pour se relancer dans la vie.
Macarios l'a éclairé, sauvé, réveillé, et en somme, guidé. Julien reviendra à Paris, sentant sa mère à mes côtés. Une oeuvre de grande sensibilité amicale et spirituelle, un livre si vrai. A lire.
Un récit à la première personne raconte l'histoire d'un homme, qui vient de perdre sa mère. Quel plus grand bouleversement dans une vie et dans le même temps quel passage incontournable auquel chacun devrait se préparer ? Chacun cherche un lieu fort et puissant où se reconstruire. Pour le narrateur, ce sera le Mont Athos, cette montagne sacrée et si puissante du monde orthodoxe, où ne vivent depuis des siècles que des hommes.
C'est un monde entre hommes et pour les hommes. Accompagné d'un ami de classe, Aristote, le bien nommé, Julien va plonger dans ce cadre fécond et y faire de splendides rencontres humaines. A commencer par Macarios, ce vieux prêtre tenant un monastère dans la forêt d'Athos. Il bouleversera sa vie et ses certitudes. Lui, mais aussi Cristobal au monastère d'Iveron. Relations humaine et physiques, ces liens vont déstabiliser les êtres.
Mais, il faudra rentrer, quitter ce temple de l'âme, avec de nouvelles armes, et pour se protéger, afin d'affronter de nouveau la "vraie" vie et se reconstruire. C'est ce que le narrateur décidera de faire la mort dans l'âme, abandonnant Macarios sur son île de la virilité, abandonnant l'idéal de jouissance à ne "rien" faire, pour se frotter de nouveau à Paris, la dure, l'égoïste, l'individuelle. La mort de la mère du narrateur n'est plus uniquement un drame, elle est désormais un piédestal pour se relancer dans la vie.
Macarios l'a éclairé, sauvé, réveillé, et en somme, guidé. Julien reviendra à Paris, sentant sa mère à mes côtés. Une oeuvre de grande sensibilité amicale et spirituelle, un livre si vrai. A lire.