Ma ville, ma banlieue, ma république à moi.... La politique au quotidien
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- Nombre de pages220
- PrésentationBroché
- Poids0.365 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-914214-22-3
- EAN9782914214223
- Date de parution01/10/2007
- ÉditeurRiveneuve
Résumé
Le 1er octobre 1967, François Gayet est élu pour la première fois conseiller général du Val d'Oise. Il a tout juste 25 ans et vient de mettre le pied en politique... Il relate avec verve la " construction " de ce nouveau département de la région parisienne, les nombreuses élections qu'il a vécues, le pittoresque de la vie locale (il sera également maire de Saint-Leu-la-Forêt pendant 24 ans). Il évoque la confrontation, parfois difficile, de la vie politique avec ses activités professionnelles, dans l'entreprise privée d'abord, puis au secrétariat général de l'ENA et à son métier de magistrat comme à sa vie de famille.
Il dit son admiration pour Pierre Mendès France, Jean-Jacques Servan-Schreiber et François Mitterrand, mais aussi pour l'écrivain Albert Cohen, le sculpteur Aristide Patsoglou, l'infatigable Serge Klarsfeld, auteur du Mémorial de la déportation des Juifs de France; ses rencontres avec Michel Rocard, Pierre Joxe, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. Il évoque les personnalités qu'il a croisées : de Jacques Chirac à Alain Juppé, de Simone Veil à Bernard Kouchner, Charles Pasqua et bien d'autres.
Il évoque bien sûr les responsables radicaux de gauche si souvent côtoyés : Robert Fabre, Michel Crépeau, Roger-Gérard Schwartzenberg et Jean-Michel Baylet. Aujourd'hui, il a tourné la page, se consacre au tribunal administratif de Paris où il rend des jugements " au nom du peuple français ", et surtout à ses huit petits-enfants. Malgré quelques déceptions, il ne garde de cette belle aventure que la fierté d'avoir servi le " bien public " pendant trente-quatre ans.
Il dit son admiration pour Pierre Mendès France, Jean-Jacques Servan-Schreiber et François Mitterrand, mais aussi pour l'écrivain Albert Cohen, le sculpteur Aristide Patsoglou, l'infatigable Serge Klarsfeld, auteur du Mémorial de la déportation des Juifs de France; ses rencontres avec Michel Rocard, Pierre Joxe, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. Il évoque les personnalités qu'il a croisées : de Jacques Chirac à Alain Juppé, de Simone Veil à Bernard Kouchner, Charles Pasqua et bien d'autres.
Il évoque bien sûr les responsables radicaux de gauche si souvent côtoyés : Robert Fabre, Michel Crépeau, Roger-Gérard Schwartzenberg et Jean-Michel Baylet. Aujourd'hui, il a tourné la page, se consacre au tribunal administratif de Paris où il rend des jugements " au nom du peuple français ", et surtout à ses huit petits-enfants. Malgré quelques déceptions, il ne garde de cette belle aventure que la fierté d'avoir servi le " bien public " pendant trente-quatre ans.
Le 1er octobre 1967, François Gayet est élu pour la première fois conseiller général du Val d'Oise. Il a tout juste 25 ans et vient de mettre le pied en politique... Il relate avec verve la " construction " de ce nouveau département de la région parisienne, les nombreuses élections qu'il a vécues, le pittoresque de la vie locale (il sera également maire de Saint-Leu-la-Forêt pendant 24 ans). Il évoque la confrontation, parfois difficile, de la vie politique avec ses activités professionnelles, dans l'entreprise privée d'abord, puis au secrétariat général de l'ENA et à son métier de magistrat comme à sa vie de famille.
Il dit son admiration pour Pierre Mendès France, Jean-Jacques Servan-Schreiber et François Mitterrand, mais aussi pour l'écrivain Albert Cohen, le sculpteur Aristide Patsoglou, l'infatigable Serge Klarsfeld, auteur du Mémorial de la déportation des Juifs de France; ses rencontres avec Michel Rocard, Pierre Joxe, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. Il évoque les personnalités qu'il a croisées : de Jacques Chirac à Alain Juppé, de Simone Veil à Bernard Kouchner, Charles Pasqua et bien d'autres.
Il évoque bien sûr les responsables radicaux de gauche si souvent côtoyés : Robert Fabre, Michel Crépeau, Roger-Gérard Schwartzenberg et Jean-Michel Baylet. Aujourd'hui, il a tourné la page, se consacre au tribunal administratif de Paris où il rend des jugements " au nom du peuple français ", et surtout à ses huit petits-enfants. Malgré quelques déceptions, il ne garde de cette belle aventure que la fierté d'avoir servi le " bien public " pendant trente-quatre ans.
Il dit son admiration pour Pierre Mendès France, Jean-Jacques Servan-Schreiber et François Mitterrand, mais aussi pour l'écrivain Albert Cohen, le sculpteur Aristide Patsoglou, l'infatigable Serge Klarsfeld, auteur du Mémorial de la déportation des Juifs de France; ses rencontres avec Michel Rocard, Pierre Joxe, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. Il évoque les personnalités qu'il a croisées : de Jacques Chirac à Alain Juppé, de Simone Veil à Bernard Kouchner, Charles Pasqua et bien d'autres.
Il évoque bien sûr les responsables radicaux de gauche si souvent côtoyés : Robert Fabre, Michel Crépeau, Roger-Gérard Schwartzenberg et Jean-Michel Baylet. Aujourd'hui, il a tourné la page, se consacre au tribunal administratif de Paris où il rend des jugements " au nom du peuple français ", et surtout à ses huit petits-enfants. Malgré quelques déceptions, il ne garde de cette belle aventure que la fierté d'avoir servi le " bien public " pendant trente-quatre ans.