Ma vie en vieille et le droit d'en choisir la fin
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- Nombre de pages256
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.318 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-343-25164-6
- EAN9782343251646
- Date de parution27/04/2022
- ÉditeurLes Impliqués
Résumé
Ce livre raconte quelques-unes de nos expériences de vie, en tant que "vieilles" , et quelques attitudes devant la mort (GeorgesSand, Paul Lafargue). Comme tant d'autres, nous nous sommes soudain découvertes hors société, infantilisées. On parle de nous à notre place, on décide ce qui est censé être le mieux pour nous. On nous explique comment "rester jeune" , ou comment "bien vieillir" . Les divers récits qui forment ce livre, parfois contradictoires, impressions de libertés nouvelles, vulnérabilités, petits ou grands arrangements...
et dont l'humour n'est pas exclu, nous permettent de réintégrer les réalités de notre condition, comme une sorte de droit à l'existence, comme un besoin d'apprivoiser ces dernières étapes de vie. La mort, ultime étape, il est encore plus malséant d'en parler. La mort n'est ni triste ni gaie : elle EST. Nous nous sommes connues dans l'effervescence des révoltes féministes des années 70, nous clamions dans les rues : notre corp snous appartient.
Nous n'avons pas changé d'avis : nous voulons pouvoir choisir le moment et les conditions de notre mort.
et dont l'humour n'est pas exclu, nous permettent de réintégrer les réalités de notre condition, comme une sorte de droit à l'existence, comme un besoin d'apprivoiser ces dernières étapes de vie. La mort, ultime étape, il est encore plus malséant d'en parler. La mort n'est ni triste ni gaie : elle EST. Nous nous sommes connues dans l'effervescence des révoltes féministes des années 70, nous clamions dans les rues : notre corp snous appartient.
Nous n'avons pas changé d'avis : nous voulons pouvoir choisir le moment et les conditions de notre mort.
Ce livre raconte quelques-unes de nos expériences de vie, en tant que "vieilles" , et quelques attitudes devant la mort (GeorgesSand, Paul Lafargue). Comme tant d'autres, nous nous sommes soudain découvertes hors société, infantilisées. On parle de nous à notre place, on décide ce qui est censé être le mieux pour nous. On nous explique comment "rester jeune" , ou comment "bien vieillir" . Les divers récits qui forment ce livre, parfois contradictoires, impressions de libertés nouvelles, vulnérabilités, petits ou grands arrangements...
et dont l'humour n'est pas exclu, nous permettent de réintégrer les réalités de notre condition, comme une sorte de droit à l'existence, comme un besoin d'apprivoiser ces dernières étapes de vie. La mort, ultime étape, il est encore plus malséant d'en parler. La mort n'est ni triste ni gaie : elle EST. Nous nous sommes connues dans l'effervescence des révoltes féministes des années 70, nous clamions dans les rues : notre corp snous appartient.
Nous n'avons pas changé d'avis : nous voulons pouvoir choisir le moment et les conditions de notre mort.
et dont l'humour n'est pas exclu, nous permettent de réintégrer les réalités de notre condition, comme une sorte de droit à l'existence, comme un besoin d'apprivoiser ces dernières étapes de vie. La mort, ultime étape, il est encore plus malséant d'en parler. La mort n'est ni triste ni gaie : elle EST. Nous nous sommes connues dans l'effervescence des révoltes féministes des années 70, nous clamions dans les rues : notre corp snous appartient.
Nous n'avons pas changé d'avis : nous voulons pouvoir choisir le moment et les conditions de notre mort.