"Ma route est d'un pays où vivre me déchire..."

Par : Serge Airoldi
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  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.166 kg
  • Dimensions15,0 cm × 19,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN979-10-91902-09-0
  • EAN9791091902090
  • Date de parution12/06/2014
  • ÉditeurFario (Editions)

Résumé

"Ma route est d'un pays où vivre me déchire... " est un titre extrait des mots du Veilleur, un texte du poète suisse Edmond-Henri Crisinel né en 1897 et mort en 1948. Né en 1897 comme Gustave Roud. Cette référence aussi forte à la pensée délicate, désespérée aussi, de Crisinel, poète si peu prolixe, si peu présent dans les mémoires, est une façon de s'insérer dans le paysage, poussé par la force des choses, en quête du silence essentiel, du chemin égaré, des demeures profondes, des ciels clairs, de l'ensemble sensible du monde.
Ce paysage désiré, et qui demeure à l'état de désir quoique expérimenté, ne laisse pas intact le promeneur malgré lui qu'est Serge Airoldi, engagé dans une marche périlleuse où la vie se construit et se consume dans le même temps, confrontée au vin céleste qui enivre de joie et qui endort l'espoir dans le même pas accompli. Un peu comme si l'Antiquité commençait seulement jeudi prochain. Un peu comme si le chemin impossible à déterminer, vécu au hasard, conduisait toujours à la maison natale, au désastre et à son territoire.
"Ma route est d'un pays où vivre me déchire... " est un titre extrait des mots du Veilleur, un texte du poète suisse Edmond-Henri Crisinel né en 1897 et mort en 1948. Né en 1897 comme Gustave Roud. Cette référence aussi forte à la pensée délicate, désespérée aussi, de Crisinel, poète si peu prolixe, si peu présent dans les mémoires, est une façon de s'insérer dans le paysage, poussé par la force des choses, en quête du silence essentiel, du chemin égaré, des demeures profondes, des ciels clairs, de l'ensemble sensible du monde.
Ce paysage désiré, et qui demeure à l'état de désir quoique expérimenté, ne laisse pas intact le promeneur malgré lui qu'est Serge Airoldi, engagé dans une marche périlleuse où la vie se construit et se consume dans le même temps, confrontée au vin céleste qui enivre de joie et qui endort l'espoir dans le même pas accompli. Un peu comme si l'Antiquité commençait seulement jeudi prochain. Un peu comme si le chemin impossible à déterminer, vécu au hasard, conduisait toujours à la maison natale, au désastre et à son territoire.
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