La force de ce roman réside avant tout dans sa narration.
L’écriture au présent a le don immédiat de plonger le lecteur au coeur de l’action, c’est pourquoi dès le premier chapitre le décor est planté :
un périple en voiture, une fratrie qui se chamaille sans arrêt, une mère internée, et une tempête de neige qui annonce une progression dangereusement mouvementée.
Sans compter les imprévus, presque tous basés sur des rencontres improbables, qui joueront un rôle de catalyseur sur nos deux héros pour les faire se remettre totalement en question, et évoluer.
Pour son deuxième roman, Marine Veith confirme la singularité de son univers, ( « Ceux qui traversent la mer reviennent toujours à pieds » en est l’exemple ), en nous campant des personnages à la forte personnalité, qu’ils soient peu conventionnels, révoltés, marginaux ou simplement en quête « d’autre chose ».
Elle les confronte à une nature indomptable, les force à aller au bout de leurs limites, dans un combat inégal contre les éléments, d’où ils sortiront lucides, apaisés, prêts à tracer leur route .
La force de ce roman réside avant tout dans sa narration.
L’écriture au présent a le don immédiat de plonger le lecteur au coeur de l’action, c’est pourquoi dès le premier chapitre le décor est planté :
un périple en voiture, une fratrie qui se chamaille sans arrêt, une mère internée, et une tempête de neige qui annonce une progression dangereusement mouvementée.
Sans compter les imprévus, presque tous basés sur des rencontres improbables, qui joueront un rôle de catalyseur sur nos deux héros pour les faire se remettre totalement en question, et évoluer.
Pour son deuxième roman, Marine Veith confirme la singularité de son univers, ( « Ceux qui traversent la mer reviennent toujours à pieds » en est l’exemple ), en nous campant des personnages à la forte personnalité, qu’ils soient peu conventionnels, révoltés, marginaux ou simplement en quête « d’autre chose ».
Elle les confronte à une nature indomptable, les force à aller au bout de leurs limites, dans un combat inégal contre les éléments, d’où ils sortiront lucides, apaisés, prêts à tracer leur route .