Ma justice. Plus proche, plus humaine, plus forte
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- Nombre de pages164
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-84941-064-6
- EAN9782849410646
- Date de parution15/03/2007
- ÉditeurFrançois Bourin
Résumé
"Un jour, je suis monté à l'audience pour dire que cette justice n'était pas ma justice, ni celle de personne." Cette intervention d'Yves Bot alors procureur général de Paris, au terme de l'affaire d'Outreau, a fait la une de toute la presse en raison de son caractère exceptionnel. Un tabou était brisé. Restait au magistrat, au procureur général de Paris, à exposer sa conception de la justice et à expliquer comment le système judiciaire français, qui n'a pas à rougir de son bilan, peut améliorer son fonctionnement.
Après avoir décrit le rôle du parquet, celui du juge d'instruction, dont il prévoit la disparition prochaine, et les modalités de la garde à vue ainsi que de la détention provisoire, Yves Bot fait plusieurs propositions : changer le statut du parquet en coupant le lien avec la chancellerie, raccourcir les délais de jugement, etc. La justice a besoin, selon lui, d'une véritable refondation. Elle doit se remettre en question, mieux communiquer, s'adapter à une société en mutation qui lui réclame des comptes. Plus que jamais, elle a un devoir d'explication et de transparence.
"Un jour, je suis monté à l'audience pour dire que cette justice n'était pas ma justice, ni celle de personne." Cette intervention d'Yves Bot alors procureur général de Paris, au terme de l'affaire d'Outreau, a fait la une de toute la presse en raison de son caractère exceptionnel. Un tabou était brisé. Restait au magistrat, au procureur général de Paris, à exposer sa conception de la justice et à expliquer comment le système judiciaire français, qui n'a pas à rougir de son bilan, peut améliorer son fonctionnement.
Après avoir décrit le rôle du parquet, celui du juge d'instruction, dont il prévoit la disparition prochaine, et les modalités de la garde à vue ainsi que de la détention provisoire, Yves Bot fait plusieurs propositions : changer le statut du parquet en coupant le lien avec la chancellerie, raccourcir les délais de jugement, etc. La justice a besoin, selon lui, d'une véritable refondation. Elle doit se remettre en question, mieux communiquer, s'adapter à une société en mutation qui lui réclame des comptes. Plus que jamais, elle a un devoir d'explication et de transparence.