Ma fille voulait mettre son doigt dans le nez des autres

Par : Maxime Gillio
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages185
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.248 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7564-1944-2
  • EAN9782756419442
  • Date de parution22/03/2017
  • ÉditeurPygmalion

Résumé

"Je vois Gabrielle, ma fille, m'observer de son regard indéchiffrable. Pourquoi ce livre ? Après tout, c'est notre passé, sa vie, mes sentiments. Il ne concerne qu'elle et moi, pourquoi l'exposer aux yeux de tous ? Parce que nous en avons besoin. Parce que nous devons guérir de cet amour contrarié et nous retrouver. Je n'écris pas un livre sur l'autisme, encore moins un guide ou un mode d'emploi, j'offre les souvenirs que je nous ai volés.
L'histoire banale d'un père et d'une fille". Chaque jour, les chiffres concernant l'autisme nous alertent. 650 000 cas en France... Si chacun est différent, la souffrance de l'enfermement est, pour eux comme pour leurs proches, commune. Une souffrance que Maxime Gillio tente de contourner avec la force de ses mots, sincères et émouvants.
"Je vois Gabrielle, ma fille, m'observer de son regard indéchiffrable. Pourquoi ce livre ? Après tout, c'est notre passé, sa vie, mes sentiments. Il ne concerne qu'elle et moi, pourquoi l'exposer aux yeux de tous ? Parce que nous en avons besoin. Parce que nous devons guérir de cet amour contrarié et nous retrouver. Je n'écris pas un livre sur l'autisme, encore moins un guide ou un mode d'emploi, j'offre les souvenirs que je nous ai volés.
L'histoire banale d'un père et d'une fille". Chaque jour, les chiffres concernant l'autisme nous alertent. 650 000 cas en France... Si chacun est différent, la souffrance de l'enfermement est, pour eux comme pour leurs proches, commune. Une souffrance que Maxime Gillio tente de contourner avec la force de ses mots, sincères et émouvants.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
bien
Maxime désirait deux choses plus que tout au monde : avoir une fille, et qu’elle ne soit pas handicapée. Il a eu une fille Gabrielle, tout allait « bien », « normalement », jusqu’à ce qu’elle ait deux ans. Gabrielle est autiste. Maxime est père, sa fille est la plus belle de toute l’école maternelle, mais elle est « différente ». La petite a des phobies, notamment celle des voitures blanches, il lui accorde aussi le droit de traiter sa maitresse de « vielle peau » lors de son départ à la retraite, car il n’a appris qu’un an après que Gabrielle passait toutes ses récréations seule, à pleurer. Il raconte le parcours d’enfants « pas tout à fait dans la norme ». Même si Gabrielle n’a jamais été rejetée au sein de son école, elle a selon les années, mal intégré. Comme beaucoup de parents, le plus sûr n’est pas le verdict mais l’attente, et l’incertitude. Ses doigts, ce n’est pas dans les prises qu’elle cherchait à les mettre, mais dans les narines des nains. Pour elle, faire le judo, c’était « se sentir le cul ». Bouleversant. Humain. Triste. Poignant. Les ventes de l’ouvrage soutiendront l’association « Autilink » qui a pour mission d’accompagner les adultes autistes dans leur insertion professionnelle.
Maxime désirait deux choses plus que tout au monde : avoir une fille, et qu’elle ne soit pas handicapée. Il a eu une fille Gabrielle, tout allait « bien », « normalement », jusqu’à ce qu’elle ait deux ans. Gabrielle est autiste. Maxime est père, sa fille est la plus belle de toute l’école maternelle, mais elle est « différente ». La petite a des phobies, notamment celle des voitures blanches, il lui accorde aussi le droit de traiter sa maitresse de « vielle peau » lors de son départ à la retraite, car il n’a appris qu’un an après que Gabrielle passait toutes ses récréations seule, à pleurer. Il raconte le parcours d’enfants « pas tout à fait dans la norme ». Même si Gabrielle n’a jamais été rejetée au sein de son école, elle a selon les années, mal intégré. Comme beaucoup de parents, le plus sûr n’est pas le verdict mais l’attente, et l’incertitude. Ses doigts, ce n’est pas dans les prises qu’elle cherchait à les mettre, mais dans les narines des nains. Pour elle, faire le judo, c’était « se sentir le cul ». Bouleversant. Humain. Triste. Poignant. Les ventes de l’ouvrage soutiendront l’association « Autilink » qui a pour mission d’accompagner les adultes autistes dans leur insertion professionnelle.
Recommandé par le blog Les lectures de Lily
Je souhaite préciser que j'ai trouvé dans ce livre plus que ce à quoi je m'attendais. Je pensais lire des choses profondes sur la maladie et en fait, ce sont plus des petites anecdotes, des moments de vie... les chapitres sont remplis de tendresse, de douceur, c'est joliment tourné, ça donne un ensemble touchant. Il y a aussi une bonne dose de dérision et beaucoup d'humour, Maxime Gillio dédramatise cette maladie qui est encore trop mystérieuse aux yeux des gens tout en étant très honnête sur les difficultés que peuvent rencontrer des parents d'enfants autistes. Il en parle avec du recul, ça donne vraiment quelque chose de plaisant à lire, de léger malgré le sujet qui est difficile. Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est qu'il s’autorise quelques moqueries envers sa fille, c'est mignon et toujours bienveillant. J'ai très souvent souri, j'ai aussi beaucoup ri, j'ai relu des passages plusieurs fois tellement je les trouvais beaux, mis des post-it un peu partout... C’était une lecture vraiment très positive. L’intégralité de ma chronique est à lire ICI → http://www.leslecturesdelily.com/2017/04/ma-fille-voulait-mettre-son-doigt-dans.html
Je souhaite préciser que j'ai trouvé dans ce livre plus que ce à quoi je m'attendais. Je pensais lire des choses profondes sur la maladie et en fait, ce sont plus des petites anecdotes, des moments de vie... les chapitres sont remplis de tendresse, de douceur, c'est joliment tourné, ça donne un ensemble touchant. Il y a aussi une bonne dose de dérision et beaucoup d'humour, Maxime Gillio dédramatise cette maladie qui est encore trop mystérieuse aux yeux des gens tout en étant très honnête sur les difficultés que peuvent rencontrer des parents d'enfants autistes. Il en parle avec du recul, ça donne vraiment quelque chose de plaisant à lire, de léger malgré le sujet qui est difficile. Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est qu'il s’autorise quelques moqueries envers sa fille, c'est mignon et toujours bienveillant. J'ai très souvent souri, j'ai aussi beaucoup ri, j'ai relu des passages plusieurs fois tellement je les trouvais beaux, mis des post-it un peu partout... C’était une lecture vraiment très positive. L’intégralité de ma chronique est à lire ICI → http://www.leslecturesdelily.com/2017/04/ma-fille-voulait-mettre-son-doigt-dans.html
Cellule 24 Tome 1
Maxime Gillio, Lucas Durkheim
Grand Format
12,95 €
Cellule 24 Tome 1
Maxime Gillio, Lucas Durkheim
E-book
8,99 €