Maxime désirait deux choses plus que tout au monde : avoir une fille, et qu’elle ne soit pas handicapée.
Il a eu une fille Gabrielle, tout allait « bien », « normalement », jusqu’à ce qu’elle ait deux ans. Gabrielle est autiste.
Maxime est père, sa fille est la plus belle de toute l’école maternelle, mais elle est « différente ».
La petite a des phobies, notamment celle des voitures blanches, il lui accorde aussi le droit de traiter sa maitresse de « vielle peau » lors de son départ à la retraite, car il n’a appris qu’un an après que Gabrielle passait toutes ses
récréations seule, à pleurer.
Il raconte le parcours d’enfants « pas tout à fait dans la norme ». Même si Gabrielle n’a jamais été rejetée au sein de son école, elle a selon les années, mal intégré.
Comme beaucoup de parents, le plus sûr n’est pas le verdict mais l’attente, et l’incertitude.
Ses doigts, ce n’est pas dans les prises qu’elle cherchait à les mettre, mais dans les narines des nains. Pour elle, faire le judo, c’était « se sentir le cul ». Bouleversant. Humain. Triste. Poignant.
Les ventes de l’ouvrage soutiendront l’association « Autilink » qui a pour mission d’accompagner les adultes autistes dans leur insertion professionnelle.
bien
Maxime désirait deux choses plus que tout au monde : avoir une fille, et qu’elle ne soit pas handicapée.
Il a eu une fille Gabrielle, tout allait « bien », « normalement », jusqu’à ce qu’elle ait deux ans. Gabrielle est autiste.
Maxime est père, sa fille est la plus belle de toute l’école maternelle, mais elle est « différente ».
La petite a des phobies, notamment celle des voitures blanches, il lui accorde aussi le droit de traiter sa maitresse de « vielle peau » lors de son départ à la retraite, car il n’a appris qu’un an après que Gabrielle passait toutes ses récréations seule, à pleurer.
Il raconte le parcours d’enfants « pas tout à fait dans la norme ». Même si Gabrielle n’a jamais été rejetée au sein de son école, elle a selon les années, mal intégré.
Comme beaucoup de parents, le plus sûr n’est pas le verdict mais l’attente, et l’incertitude.
Ses doigts, ce n’est pas dans les prises qu’elle cherchait à les mettre, mais dans les narines des nains. Pour elle, faire le judo, c’était « se sentir le cul ». Bouleversant. Humain. Triste. Poignant.
Les ventes de l’ouvrage soutiendront l’association « Autilink » qui a pour mission d’accompagner les adultes autistes dans leur insertion professionnelle.