André Dhôtel est né en 1900 à Attigny dans les Ardennes. Enfant, il fait souvent l'école buissonnière et parcourt la campagne, comme le jeune héros de son futur ouvrage, "L'enfant qui disait n'importe quoi". Ses fréquentes escapades ne l'empêcheront pourtant pas de passer une licence de philosophie. En 1924, il part pour Athènes, où il demeurera quatre ans. Trois de ses livres, dont "L'Ile de la croix d'or", sont empreints de la lumière si particulière de la Grèce. En 1955, il obtient le prix Femina pour "Le pays où l'on n'arrive jamais" puis le grand prix de l'Académie française en 1974, et enfin le grand prix national des Lettres en 1975. André Dhôtel est mort à Paris en 1991.
Ma chère âme
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- Nombre de pages263
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.235 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN2-85940-907-6
- EAN9782859409074
- Date de parution03/04/2003
- CollectionLibretto
- ÉditeurPhébus (Editions)
Résumé
Petros Colydas a quitté son île de Samos et le soleil de la ruer Égée pour venir s'établir à Paris où son oncle tient commerce de fruits et légumes et de produits d'Orient. Il a laissé au pays la fantasque Achyro et ses drôles de mèches blondes, une fille qui pour lui n'est pas beaucoup plus qu'une image : Petros est de ces jeunes gens qui ont le génie de laisser filer les plus belles occasions, et qui s'en tirent - ou croient s'en tirer - en s'appliquant à la vie la mieux rangée. Il épousera pour finir une beauté brune du nom d'Hélène... dont il découvrira qu'elle se teint les cheveux pour cacher une blondeur peu disposée à se montrer au premier venu. Et voilà qu'Hélène lui avoue un beau jour qu'elle aussi est d'origine grecque... Est-ce trahir une fille que d'aimer une image qui ne se distinguerait d'elle en rien ? Petros, on le devine, n'a pas fini d'en voir de toutes les couleurs.
Petros Colydas a quitté son île de Samos et le soleil de la ruer Égée pour venir s'établir à Paris où son oncle tient commerce de fruits et légumes et de produits d'Orient. Il a laissé au pays la fantasque Achyro et ses drôles de mèches blondes, une fille qui pour lui n'est pas beaucoup plus qu'une image : Petros est de ces jeunes gens qui ont le génie de laisser filer les plus belles occasions, et qui s'en tirent - ou croient s'en tirer - en s'appliquant à la vie la mieux rangée. Il épousera pour finir une beauté brune du nom d'Hélène... dont il découvrira qu'elle se teint les cheveux pour cacher une blondeur peu disposée à se montrer au premier venu. Et voilà qu'Hélène lui avoue un beau jour qu'elle aussi est d'origine grecque... Est-ce trahir une fille que d'aimer une image qui ne se distinguerait d'elle en rien ? Petros, on le devine, n'a pas fini d'en voir de toutes les couleurs.