Dans le présent recueil de Ali Abdulla Khalifa, on entend, dans une langue ferme ouverte à des images vigoureuses et neuves, cette ample et lointaine musique d'un Orient de mers, de déserts et de soleils où se distingue, émouvante, la voix d'une âme éprouvée par la douleur et le rêve... Oui, cette poésie chante et chante où les " roses saignent " ; c'est pour cela qu'elle chante juste, qu'elle nous est immédiate et proche. Jan-Pierre Siméon
Dans le présent recueil de Ali Abdulla Khalifa, on entend, dans une langue ferme ouverte à des images vigoureuses et neuves, cette ample et lointaine musique d'un Orient de mers, de déserts et de soleils où se distingue, émouvante, la voix d'une âme éprouvée par la douleur et le rêve... Oui, cette poésie chante et chante où les " roses saignent " ; c'est pour cela qu'elle chante juste, qu'elle nous est immédiate et proche. Jan-Pierre Siméon