Lumière fatale

Par : Richard Currey
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  • Nombre de pages226
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.272 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,5 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-07-071869-7
  • EAN9782070718696
  • Date de parution01/05/1990
  • CollectionDu monde entier
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Un jeune Américain, sensible, aimant, encore innocent, est mobilisé en 1967, en pleine guerre du Viêt-nam. Il fait ses classes dans les boues du Sud, puis s'en va, dans les boues de l'Est, jouer pour de vrai au petit soldat. Chronique de la folie, de la violence ordinaires, ainsi pourrait s'intituler le journal qu'il tient. Scènes de la vie guerrière, certaines terribles ; accomplissement mécanique des actes les plus graves, les plus triviaux pour obéir au règlement.
En somme, rien de nouveau sous le soleil, sinon le soleil même et les infinies variations de sa lumière fatale. Il n'y a pas de raison d'être là. Il n'y a rien à faire pour en sortir. Le monde se résume à quatre fois rien : la boue, la pluie, l'ennui, la mort. Ou, si l'on y échappe, à l'hôpital, aux couloirs de la souffrance et aux labyrinthes de la fièvre : à la pure déréliction. C'est ensuite la convalescence à Saigon.
Misère et mort, entrecoupées de menus plaisirs, des infimes joies de l'instant. Celui qui revient de là-bas ne peut être qu'un vieillard ou un spectre. C'est ce qu'à son retour un tout jeune homme sensible, aimant, autrefois innocent, découvre dans l'amertume. C'est ce qu'il va lui falloir désormais affronter.
Un jeune Américain, sensible, aimant, encore innocent, est mobilisé en 1967, en pleine guerre du Viêt-nam. Il fait ses classes dans les boues du Sud, puis s'en va, dans les boues de l'Est, jouer pour de vrai au petit soldat. Chronique de la folie, de la violence ordinaires, ainsi pourrait s'intituler le journal qu'il tient. Scènes de la vie guerrière, certaines terribles ; accomplissement mécanique des actes les plus graves, les plus triviaux pour obéir au règlement.
En somme, rien de nouveau sous le soleil, sinon le soleil même et les infinies variations de sa lumière fatale. Il n'y a pas de raison d'être là. Il n'y a rien à faire pour en sortir. Le monde se résume à quatre fois rien : la boue, la pluie, l'ennui, la mort. Ou, si l'on y échappe, à l'hôpital, aux couloirs de la souffrance et aux labyrinthes de la fièvre : à la pure déréliction. C'est ensuite la convalescence à Saigon.
Misère et mort, entrecoupées de menus plaisirs, des infimes joies de l'instant. Celui qui revient de là-bas ne peut être qu'un vieillard ou un spectre. C'est ce qu'à son retour un tout jeune homme sensible, aimant, autrefois innocent, découvre dans l'amertume. C'est ce qu'il va lui falloir désormais affronter.