Lumière divine et illuminations philosophiques autour du livre saint en islam. Volume I - Entre théosophie et herméneutique

Par : Mariam Cheikhrouhou

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages312
  • PrésentationBroché
  • Poids0.473 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-336-47835-7
  • EAN9782336478357
  • Date de parution14/11/2024
  • CollectionDialogues interreligieux
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

En islam ishrâgi (de l'illumination), Dieu est la lumière des cieux et de la terre, Il se manifeste à travers toutes ses créatures, sa lumière est la voie vers toute connaissance et toute action vraies. Cette doctrine part du verset de la lumière (35) de la Sourate "An-nours (24), suscitant une multitude d'interprétations auprès des philosophes et des savants. La lumière y est envisagée sous ses différentes dimensions : comme réalité physique matérielle, vecteur de la perception et forme sentie et perçue ; comme forme immatérielle ou image organisant l'espace, et enfin comme référence symbolique constituant un moyen de connaissance et de vision des réalités dissimulées, et appartenant au monde imaginal, lieu de l'âme.
Le contenu de la révélation divine en islam, à la lumière de la philosophie ishrâqi de l'illumination, définit une ontologie de la lumière ; une forme d'immatérialisme. A travers la métaphore "de l'arbre béni et de la lumières" avancée dans le Coran, ce modèle de pensée propose une sagesse universelle et une connaissance divine omniprésente.
En islam ishrâgi (de l'illumination), Dieu est la lumière des cieux et de la terre, Il se manifeste à travers toutes ses créatures, sa lumière est la voie vers toute connaissance et toute action vraies. Cette doctrine part du verset de la lumière (35) de la Sourate "An-nours (24), suscitant une multitude d'interprétations auprès des philosophes et des savants. La lumière y est envisagée sous ses différentes dimensions : comme réalité physique matérielle, vecteur de la perception et forme sentie et perçue ; comme forme immatérielle ou image organisant l'espace, et enfin comme référence symbolique constituant un moyen de connaissance et de vision des réalités dissimulées, et appartenant au monde imaginal, lieu de l'âme.
Le contenu de la révélation divine en islam, à la lumière de la philosophie ishrâqi de l'illumination, définit une ontologie de la lumière ; une forme d'immatérialisme. A travers la métaphore "de l'arbre béni et de la lumières" avancée dans le Coran, ce modèle de pensée propose une sagesse universelle et une connaissance divine omniprésente.