Lucien Leuwen. Tome 1 - Poche

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" Beyle oppose toujours quelque jeune homme pur et quelque homme d'esprit à ces monstres de besogne, de niaiserie, de cupidité, de sécheresse, d'hypocrisie... Lire la suite
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Résumé

" Beyle oppose toujours quelque jeune homme pur et quelque homme d'esprit à ces monstres de besogne, de niaiserie, de cupidité, de sécheresse, d'hypocrisie ou d'envie dont il a peint tant de fois les visages, les caractères et les actes. Il concevait par ses dégoûts, il s'assurait par soi-même que la véritable valeur peut être séparée des vanités, de paperasses, des mensonges, de la solennité, de l'automatisme...
On lit aisément dans Beyle qu'il eût aimé de traiter de grandes affaires en se jouant. Il crée amoureusement des hommes aux jugements nets brefs, aux ripostes instantanées du même ordre de durée que les évènements, aussi brusques, aussi surprenantes que les surprises, ministres ou banquiers qui mènent, tranchent, traversent les circonstances, combinent le plaisant au profond, dosent finesse et pertinence...
"

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/10/1982
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    2-08-070350-1
  • EAN
    9782080703507
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    407 pages
  • Poids
    0.285 Kg
  • Dimensions
    10,8 cm × 17,8 cm × 1,9 cm

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L'éditeur en parle

"Quand enfin Lucien fut délivré des compliments des officiers, du service à la caserne, des trente-six trompettes, etc. , etc. , il se trouva horriblement triste. Une seule pensée surnageait dans son âme : Tout cela est assez plat ; ils parlent de guerre, d'ennemi, d'héroïsme, d'honneur, et il n'y a plus d'ennemis depuis vingt ans ! Et mon père prétend que jamais des Chambres avares ne se détermineront à payer la guerre au-delà d'une campagne.
A quoi sommes-nous donc bons ? A faire du zèle en style de député vendu. [... ]N'eût-il pas mieux valu être fou de bonheur, comme l'eût été, dans la position de Lucien, un jeune homme de province dont l'éducation n'eût pas coûté cent mille francs ? Il y a donc une fausse civilisation ! Nous ne sommes donc pas arrivés précisément à la perfection de la civilisation ! Et nous faisons de l'esprit toute la journée sur les désagréments infinis qui accompagnent cette perfection ! "

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