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  • Nombre de pages283
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.343 kg
  • Dimensions14,1 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-7529-0506-2
  • EAN9782752905062
  • Date de parution07/05/2012
  • CollectionLittérature étrangère
  • ÉditeurPhébus (Editions)
  • TraducteurFrançoise Pertat

Résumé

Au cours de l'été 1946, Dom Pakos et son épouse tunisienne Houria acquièrent un café-restaurant à Vaugirard. Vingt ans plus tard, ce lieu chaleureux s'est imposé comme le point de ralliement des travailleurs immigrés. Lorsque Dom meurt, Houria peut compter sur sa nièce Sabiha, venue du bled pour la seconder. Les deux femmes s'accordent parfaitement. Un jour de pluie, un touriste australien pousse la porte de l'établissement.
Avec la belle Sabiha, c'est le coup de foudre. Malgré la nostalgie de John pour sa terre natale, leur mariage multiculturel est harmonieux. Mais un mal le ronge : le couple ne peut avoir d'enfant. Certaine que c'est son époux qui est stérile, et déterminée à avoir la petite fille de ses rêves, Sabiha prend une décision dont l'audace l'étonne. Leur existence en sera bouleversée... L'atmosphère enveloppante d'un café populaire, la sensualité explosive d'une femme, la tendresse d'un homme, le désir d'enfant : Alex Miller capte tout cela avec brio dans ce roman lumineux, porté par des personnages inoubliables.
Au cours de l'été 1946, Dom Pakos et son épouse tunisienne Houria acquièrent un café-restaurant à Vaugirard. Vingt ans plus tard, ce lieu chaleureux s'est imposé comme le point de ralliement des travailleurs immigrés. Lorsque Dom meurt, Houria peut compter sur sa nièce Sabiha, venue du bled pour la seconder. Les deux femmes s'accordent parfaitement. Un jour de pluie, un touriste australien pousse la porte de l'établissement.
Avec la belle Sabiha, c'est le coup de foudre. Malgré la nostalgie de John pour sa terre natale, leur mariage multiculturel est harmonieux. Mais un mal le ronge : le couple ne peut avoir d'enfant. Certaine que c'est son époux qui est stérile, et déterminée à avoir la petite fille de ses rêves, Sabiha prend une décision dont l'audace l'étonne. Leur existence en sera bouleversée... L'atmosphère enveloppante d'un café populaire, la sensualité explosive d'une femme, la tendresse d'un homme, le désir d'enfant : Alex Miller capte tout cela avec brio dans ce roman lumineux, porté par des personnages inoubliables.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.7/5
sur 3 notes dont 2 avis lecteurs
couple en crise
Contrairement à ce que je viens de lire dans les critiques, je trouve que cette histoire rassemble beaucoup de problématiques interressantes. L'exil, la sterilité, les choix des couples, la fidélité,l'importance de la descendance. Même si ce livre n'est pas inoubliable, tout n'est pas à jeter. Pour ma part je n'avais pas compris quel était le moyen choisi pour avoir un enfant envers et contre tout. Pour moi ça ouvre des pistes. J'ai quand même passé un bref mais bon moment
Contrairement à ce que je viens de lire dans les critiques, je trouve que cette histoire rassemble beaucoup de problématiques interressantes. L'exil, la sterilité, les choix des couples, la fidélité,l'importance de la descendance. Même si ce livre n'est pas inoubliable, tout n'est pas à jeter. Pour ma part je n'avais pas compris quel était le moyen choisi pour avoir un enfant envers et contre tout. Pour moi ça ouvre des pistes. J'ai quand même passé un bref mais bon moment
"Nous allons avoir une vie extraordinaire"
« John Patterner ! […] L’homme que j’ai épousé et avec lequel j’ai passé toutes ces années vides et vaines dans ce café ridicule de la rue des Esclaves. Tout m’a l’air si stupide rétrospectivement ! Quelle existence petite et sordide nous menions dans notre ghetto ! Que notre vie était futile ! Nous remplissions nos journées de néant. À présent regarde-nous ! Nous avons toujours été étrangers l’un à l’autre. C’est seulement maintenant que nous commençons, enfin, à voir combien cela est vrai. » Tout est écrit : Sabiha, une Tunisienne, a épousé l’Australien John avec lequel elle tient un restaurant à Paris. Leur vie est aussi routinière et pauvre que l’intrigue de ce roman. Ensemble, ils gèrent leur établissement qui accueille principalement les ouvriers tunisiens du quartier Montparnasse. Tandis qu’elle cuisine, John fait le service et s’occupe des diverses tâches d’entretien. Le samedi soir, Sabiha reprend les chants envoûtants de son pays, accompagnée de l’oud de son ami Néjid. Ils auraient été heureux mais seul hic, ils ne parviennent pas à avoir d’enfant. Les années passent, au fil de pages fort ennuyantes, pendant lesquelles Sabiha fait de ce manque une obsession. Puisque le lecteur sait d’emblée qu’ils finissent par avoir un enfant – aucun spoil – le seul suspense est : comment ont-il fait ? La palette de choix est restreinte et inintéressante. Le narrateur, témoin indirect de la vie de ce couple mortel, prouve la pauvreté de l’intrigue en ne racontant que les journées où l’action se passe. Malgré tout, la lassitude est inévitable ; les actions sont plates, mal amenées, trop précipitées ou décrites, au contraire, trop en longueur quand ce n’est pas nécessaire... Lisez la suite de la critique sur mon blog : http://bibliolingus.over-blog.fr/article-lovesong-alex-miller-106967066.html
« John Patterner ! […] L’homme que j’ai épousé et avec lequel j’ai passé toutes ces années vides et vaines dans ce café ridicule de la rue des Esclaves. Tout m’a l’air si stupide rétrospectivement ! Quelle existence petite et sordide nous menions dans notre ghetto ! Que notre vie était futile ! Nous remplissions nos journées de néant. À présent regarde-nous ! Nous avons toujours été étrangers l’un à l’autre. C’est seulement maintenant que nous commençons, enfin, à voir combien cela est vrai. » Tout est écrit : Sabiha, une Tunisienne, a épousé l’Australien John avec lequel elle tient un restaurant à Paris. Leur vie est aussi routinière et pauvre que l’intrigue de ce roman. Ensemble, ils gèrent leur établissement qui accueille principalement les ouvriers tunisiens du quartier Montparnasse. Tandis qu’elle cuisine, John fait le service et s’occupe des diverses tâches d’entretien. Le samedi soir, Sabiha reprend les chants envoûtants de son pays, accompagnée de l’oud de son ami Néjid. Ils auraient été heureux mais seul hic, ils ne parviennent pas à avoir d’enfant. Les années passent, au fil de pages fort ennuyantes, pendant lesquelles Sabiha fait de ce manque une obsession. Puisque le lecteur sait d’emblée qu’ils finissent par avoir un enfant – aucun spoil – le seul suspense est : comment ont-il fait ? La palette de choix est restreinte et inintéressante. Le narrateur, témoin indirect de la vie de ce couple mortel, prouve la pauvreté de l’intrigue en ne racontant que les journées où l’action se passe. Malgré tout, la lassitude est inévitable ; les actions sont plates, mal amenées, trop précipitées ou décrites, au contraire, trop en longueur quand ce n’est pas nécessaire... Lisez la suite de la critique sur mon blog : http://bibliolingus.over-blog.fr/article-lovesong-alex-miller-106967066.html
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