Louise Grouès. Tout le ciel bleu, tout le ciel noir (1868-1931)
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- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- Poids0.375 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN979-10-90272-12-5
- EAN9791090272125
- Date de parution01/12/2014
- CollectionEcritures de femmes
- ÉditeurLes Autanes (Editions)
Résumé
Louise Grouès (1868-1931) est une femme de lettres, féministe engagée dans les années 1900-1920. Originaire d'une famille modeste de toiliers des Alpes de Haute-Provence, elle connaitra l'émigration vers Lyon tout d'abord, puis vers le Mexique, s'inscrivant dans la Saga des Barcelonnettes. De retour à Paris en 1900, sous le nom d'Héra Mirtel, elle vit sa passion pour l'écriture qu'elle met au service de son engagement féministe.
Elle devient directrice d'un journal l'Entente, participe à des commissions pour la réforme des articles du code civil napoléonien aux côtés d'hommes politiques et de féministes reconnues, intervient par ses articles dans des revues, et assure des prestations dans des conférences, des salons. Elle se fait connaitre par ses romans, ses poésies, ses pièces de théâtre, ses chroniques. De par ses idées, ses écrits et sa volonté de vivre une vie de femme indépendante, elle dérange profondément le milieu familial auquel elle appartient, milieu catholique de la haute bourgeoisie commerçante lyonnaise.
Un second mariage malheureux la plonge dans un drame - connu sous le nom de "l'affaire Bessarabo"- : elle assassine, avec l'aide de sa fille aînée, son mari, Georges Weissmann-Bessarabo. Elle est condamnée à 20 ans de prison en juin 1922. Elle meurt au bout de 10 ans, malade et abandonnée de tous. Son oeuvre littéraire est oubliée. Une très grande partie des ses écrits, en particulier ses lettres, ont disparu.
Ce qui reste de ses écrits : des chroniques dispersées dans des revues, des articles dans de nombreux journaux de l'époque, ses principaux romans et quelques poésies sont conservés à la Bibliothèque Nationale de France et à la Bibliothèque Marguerite Durand à Paris.
Elle devient directrice d'un journal l'Entente, participe à des commissions pour la réforme des articles du code civil napoléonien aux côtés d'hommes politiques et de féministes reconnues, intervient par ses articles dans des revues, et assure des prestations dans des conférences, des salons. Elle se fait connaitre par ses romans, ses poésies, ses pièces de théâtre, ses chroniques. De par ses idées, ses écrits et sa volonté de vivre une vie de femme indépendante, elle dérange profondément le milieu familial auquel elle appartient, milieu catholique de la haute bourgeoisie commerçante lyonnaise.
Un second mariage malheureux la plonge dans un drame - connu sous le nom de "l'affaire Bessarabo"- : elle assassine, avec l'aide de sa fille aînée, son mari, Georges Weissmann-Bessarabo. Elle est condamnée à 20 ans de prison en juin 1922. Elle meurt au bout de 10 ans, malade et abandonnée de tous. Son oeuvre littéraire est oubliée. Une très grande partie des ses écrits, en particulier ses lettres, ont disparu.
Ce qui reste de ses écrits : des chroniques dispersées dans des revues, des articles dans de nombreux journaux de l'époque, ses principaux romans et quelques poésies sont conservés à la Bibliothèque Nationale de France et à la Bibliothèque Marguerite Durand à Paris.
Louise Grouès (1868-1931) est une femme de lettres, féministe engagée dans les années 1900-1920. Originaire d'une famille modeste de toiliers des Alpes de Haute-Provence, elle connaitra l'émigration vers Lyon tout d'abord, puis vers le Mexique, s'inscrivant dans la Saga des Barcelonnettes. De retour à Paris en 1900, sous le nom d'Héra Mirtel, elle vit sa passion pour l'écriture qu'elle met au service de son engagement féministe.
Elle devient directrice d'un journal l'Entente, participe à des commissions pour la réforme des articles du code civil napoléonien aux côtés d'hommes politiques et de féministes reconnues, intervient par ses articles dans des revues, et assure des prestations dans des conférences, des salons. Elle se fait connaitre par ses romans, ses poésies, ses pièces de théâtre, ses chroniques. De par ses idées, ses écrits et sa volonté de vivre une vie de femme indépendante, elle dérange profondément le milieu familial auquel elle appartient, milieu catholique de la haute bourgeoisie commerçante lyonnaise.
Un second mariage malheureux la plonge dans un drame - connu sous le nom de "l'affaire Bessarabo"- : elle assassine, avec l'aide de sa fille aînée, son mari, Georges Weissmann-Bessarabo. Elle est condamnée à 20 ans de prison en juin 1922. Elle meurt au bout de 10 ans, malade et abandonnée de tous. Son oeuvre littéraire est oubliée. Une très grande partie des ses écrits, en particulier ses lettres, ont disparu.
Ce qui reste de ses écrits : des chroniques dispersées dans des revues, des articles dans de nombreux journaux de l'époque, ses principaux romans et quelques poésies sont conservés à la Bibliothèque Nationale de France et à la Bibliothèque Marguerite Durand à Paris.
Elle devient directrice d'un journal l'Entente, participe à des commissions pour la réforme des articles du code civil napoléonien aux côtés d'hommes politiques et de féministes reconnues, intervient par ses articles dans des revues, et assure des prestations dans des conférences, des salons. Elle se fait connaitre par ses romans, ses poésies, ses pièces de théâtre, ses chroniques. De par ses idées, ses écrits et sa volonté de vivre une vie de femme indépendante, elle dérange profondément le milieu familial auquel elle appartient, milieu catholique de la haute bourgeoisie commerçante lyonnaise.
Un second mariage malheureux la plonge dans un drame - connu sous le nom de "l'affaire Bessarabo"- : elle assassine, avec l'aide de sa fille aînée, son mari, Georges Weissmann-Bessarabo. Elle est condamnée à 20 ans de prison en juin 1922. Elle meurt au bout de 10 ans, malade et abandonnée de tous. Son oeuvre littéraire est oubliée. Une très grande partie des ses écrits, en particulier ses lettres, ont disparu.
Ce qui reste de ses écrits : des chroniques dispersées dans des revues, des articles dans de nombreux journaux de l'époque, ses principaux romans et quelques poésies sont conservés à la Bibliothèque Nationale de France et à la Bibliothèque Marguerite Durand à Paris.