Louis Grodecki et Robert Branner. Une pratique épistolaire de l’histoire de l’art médiéval au XXe siècle
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- Nombre de pages410
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.816 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN979-10-344-0260-1
- EAN9791034402601
- Date de parution23/10/2025
- CollectionHistoriographie de l'art
- ÉditeurPU de Strasbourg
Résumé
Une édition critique de la correspondance épistolaire entre les célèbres historiens de l'art médiéval, le Français Louis Grodecki et l'Américain Robert Branner, théâtre d'une célèbre dispute scientifique sur les monuments gothiques d'Ile-de-France. La correspondance entre Louis Grodecki (1910-1982) et Robert Branner (1927-1973), deux historiens majeurs de l'architecture médiévale, dévoile un dialogue scientifique unique, dans lequel se mêlent idées, visions, sentiments et émotions.
Les échanges de ces deux savants permettent de comprendre comment s'effectue le choix des sujets, comment s'élabore une interprétation ou s'échafaude une méthode, et comment l'historien de l'art, d'intuition en hypothèse, bâtit un récit conditionné par sa sensibilité autant que par le contexte culturel dans lequel il exerce son métier. La densité intellectuelle et l'intensité humaine de cette correspondance permettent aussi d'apprécier l'ampleur des débats qui animent les mondes académiques français, états-uniens et allemands, débats dont la richesse, souvent teintée de violence, engendre un savoir nouveau au détriment des amitiés.
Les lettres ici présentées proviennent du fonds Branner à l'université Columbia (New York) et sont pour une très grande part inédites.
Les échanges de ces deux savants permettent de comprendre comment s'effectue le choix des sujets, comment s'élabore une interprétation ou s'échafaude une méthode, et comment l'historien de l'art, d'intuition en hypothèse, bâtit un récit conditionné par sa sensibilité autant que par le contexte culturel dans lequel il exerce son métier. La densité intellectuelle et l'intensité humaine de cette correspondance permettent aussi d'apprécier l'ampleur des débats qui animent les mondes académiques français, états-uniens et allemands, débats dont la richesse, souvent teintée de violence, engendre un savoir nouveau au détriment des amitiés.
Les lettres ici présentées proviennent du fonds Branner à l'université Columbia (New York) et sont pour une très grande part inédites.
Une édition critique de la correspondance épistolaire entre les célèbres historiens de l'art médiéval, le Français Louis Grodecki et l'Américain Robert Branner, théâtre d'une célèbre dispute scientifique sur les monuments gothiques d'Ile-de-France. La correspondance entre Louis Grodecki (1910-1982) et Robert Branner (1927-1973), deux historiens majeurs de l'architecture médiévale, dévoile un dialogue scientifique unique, dans lequel se mêlent idées, visions, sentiments et émotions.
Les échanges de ces deux savants permettent de comprendre comment s'effectue le choix des sujets, comment s'élabore une interprétation ou s'échafaude une méthode, et comment l'historien de l'art, d'intuition en hypothèse, bâtit un récit conditionné par sa sensibilité autant que par le contexte culturel dans lequel il exerce son métier. La densité intellectuelle et l'intensité humaine de cette correspondance permettent aussi d'apprécier l'ampleur des débats qui animent les mondes académiques français, états-uniens et allemands, débats dont la richesse, souvent teintée de violence, engendre un savoir nouveau au détriment des amitiés.
Les lettres ici présentées proviennent du fonds Branner à l'université Columbia (New York) et sont pour une très grande part inédites.
Les échanges de ces deux savants permettent de comprendre comment s'effectue le choix des sujets, comment s'élabore une interprétation ou s'échafaude une méthode, et comment l'historien de l'art, d'intuition en hypothèse, bâtit un récit conditionné par sa sensibilité autant que par le contexte culturel dans lequel il exerce son métier. La densité intellectuelle et l'intensité humaine de cette correspondance permettent aussi d'apprécier l'ampleur des débats qui animent les mondes académiques français, états-uniens et allemands, débats dont la richesse, souvent teintée de violence, engendre un savoir nouveau au détriment des amitiés.
Les lettres ici présentées proviennent du fonds Branner à l'université Columbia (New York) et sont pour une très grande part inédites.















