Louis Chéron (1655-1725). L'ambition du dessin parfait

Par : François Marandet
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  • Nombre de pages288
  • PrésentationBroché
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.595 kg
  • Dimensions22,0 cm × 28,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-35404-095-6
  • EAN9782354040956
  • Date de parution11/01/2022
  • ÉditeurCoédition Illustria/Musée des Beaux-Arts de Caen
  • PréfacierEmmanuelle Delapierre
  • PréfacierRobin Simon

Résumé

Le musée des Beaux-Arts de Caen propose la première rétrospective consacrée à Louis Chéron. Né dans une famille de peintres et orfèvres, Louis Chéron est lauréat du "Grand Prix" de l'Académie royale en 1676, ce qui lui permet de se rendre à Rome. De retour à Paris, il peint deux "Mays" pour la cathédrale de Notre-Dame. La révocation de l'Edit de Nantes compromet la poursuite de sa carrière en France.
Fervent protestant, il part en Angleterre en 1693. Grâce à la protection du duc de Montagu, ancien ambassadeur à la cour de France, il obtient de grandes commandes décoratives. La concurrence avec Louis Laguerre, autre peintre d'histoire français actif à Londres, et l'émergence de John Thornhill, le conduisent à réaliser d'autres types de travaux. En 1720, Louis Chéron crée sa propre école d'art à Londres, dont l'originalité est l'introduction de femmes nues comme modèles.
Un peintre aussi célèbre que William Hogarth y suivra des cours.
Le musée des Beaux-Arts de Caen propose la première rétrospective consacrée à Louis Chéron. Né dans une famille de peintres et orfèvres, Louis Chéron est lauréat du "Grand Prix" de l'Académie royale en 1676, ce qui lui permet de se rendre à Rome. De retour à Paris, il peint deux "Mays" pour la cathédrale de Notre-Dame. La révocation de l'Edit de Nantes compromet la poursuite de sa carrière en France.
Fervent protestant, il part en Angleterre en 1693. Grâce à la protection du duc de Montagu, ancien ambassadeur à la cour de France, il obtient de grandes commandes décoratives. La concurrence avec Louis Laguerre, autre peintre d'histoire français actif à Londres, et l'émergence de John Thornhill, le conduisent à réaliser d'autres types de travaux. En 1720, Louis Chéron crée sa propre école d'art à Londres, dont l'originalité est l'introduction de femmes nues comme modèles.
Un peintre aussi célèbre que William Hogarth y suivra des cours.