Longtemps j'ai courtisé la nuit
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- Nombre de pages160
- PrésentationRelié
- FormatPoche
- Poids0.178 kg
- Dimensions13,8 cm × 17,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-36229-128-9
- EAN9782362291289
- Date de parution19/08/2016
- CollectionSoleil noir
- ÉditeurDoucey éditions
- PréfacierFrédéric Jacques Temple
Résumé
Jean Joubert nous a quittés en 2015. Sa voix nous manque. "C'est en silence désormais" qu'il nous parle. Mais avant de partir, le poète a pris soin d'adresser à ses amis les poèmes qu'il écrivait au fil des jours, depuis la publication de L'alphabet des ombres, comme autant de lettres pour conjurer l'absence. Ce sont ces poèmes inédits, fidèlement rassemblés, qui constituent la majeure partie de ce livre.
Pour avoir longtemps "courtisé la nuit", le poète n'ignore pas celle qui "s'avance à pas de louve". Mais son inquiétude est ailleurs, dans la brutalité qui s'est emparée du monde, la violence faite aux femmes ou le "grognement des tueurs souterrains", menaces auxquelles il objecte une "promesse d'aube" et un "parfum d'enfance", fidèle en cela aux voeux de son premier recueil, Les Lignes de la main.
Pour avoir longtemps "courtisé la nuit", le poète n'ignore pas celle qui "s'avance à pas de louve". Mais son inquiétude est ailleurs, dans la brutalité qui s'est emparée du monde, la violence faite aux femmes ou le "grognement des tueurs souterrains", menaces auxquelles il objecte une "promesse d'aube" et un "parfum d'enfance", fidèle en cela aux voeux de son premier recueil, Les Lignes de la main.
Jean Joubert nous a quittés en 2015. Sa voix nous manque. "C'est en silence désormais" qu'il nous parle. Mais avant de partir, le poète a pris soin d'adresser à ses amis les poèmes qu'il écrivait au fil des jours, depuis la publication de L'alphabet des ombres, comme autant de lettres pour conjurer l'absence. Ce sont ces poèmes inédits, fidèlement rassemblés, qui constituent la majeure partie de ce livre.
Pour avoir longtemps "courtisé la nuit", le poète n'ignore pas celle qui "s'avance à pas de louve". Mais son inquiétude est ailleurs, dans la brutalité qui s'est emparée du monde, la violence faite aux femmes ou le "grognement des tueurs souterrains", menaces auxquelles il objecte une "promesse d'aube" et un "parfum d'enfance", fidèle en cela aux voeux de son premier recueil, Les Lignes de la main.
Pour avoir longtemps "courtisé la nuit", le poète n'ignore pas celle qui "s'avance à pas de louve". Mais son inquiétude est ailleurs, dans la brutalité qui s'est emparée du monde, la violence faite aux femmes ou le "grognement des tueurs souterrains", menaces auxquelles il objecte une "promesse d'aube" et un "parfum d'enfance", fidèle en cela aux voeux de son premier recueil, Les Lignes de la main.