Long fut le chemin...

Par : Jean-Henri Brenier
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  • Nombre de pages202
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.285 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-84450-301-2
  • EAN9782844503015
  • Date de parution01/08/2006
  • ÉditeurIbis Rouge

Résumé

En arrivant à Saint-Laurent-du-Maroni, commune pénitentiaire, un aventurier rencontre Yacek qui lui fait le récit de sa vie, de son premier vol, de son refus d'obéissance, de ses multiples méfaits... Chemin qui le conduisit au bagne, en Guyane. Descente aux enfers où l'odeur de la première miche de pain se mêle au parfum de l'eau de fleur d'oranger des corps de femmes provocatrices, pulpeuses, candides parfois.
Mais, entre rêves et désillusions, Yacek partage avec des compagnons d'infortune les mêmes préoccupations. Les épisodes se répètent, les interrogations subsistent. Nous étions tous choqués, nous avions tous peur. Nous sentions que cette terreur était voulue pour que nous puissions nous révolter et ainsi subir le châtiment dans la plus grande légalité. Nous nous posions les mêmes questions. Quand cela s'arrêterait-il ? Est-ce que ça s'arrêterait un jour ? Une seule réponse nous (semblait) évidente : le jour où nous serions tous exterminés.
N'étions-nous pas les derniers transférés du bagne de Saint-Laurent ? "
En arrivant à Saint-Laurent-du-Maroni, commune pénitentiaire, un aventurier rencontre Yacek qui lui fait le récit de sa vie, de son premier vol, de son refus d'obéissance, de ses multiples méfaits... Chemin qui le conduisit au bagne, en Guyane. Descente aux enfers où l'odeur de la première miche de pain se mêle au parfum de l'eau de fleur d'oranger des corps de femmes provocatrices, pulpeuses, candides parfois.
Mais, entre rêves et désillusions, Yacek partage avec des compagnons d'infortune les mêmes préoccupations. Les épisodes se répètent, les interrogations subsistent. Nous étions tous choqués, nous avions tous peur. Nous sentions que cette terreur était voulue pour que nous puissions nous révolter et ainsi subir le châtiment dans la plus grande légalité. Nous nous posions les mêmes questions. Quand cela s'arrêterait-il ? Est-ce que ça s'arrêterait un jour ? Une seule réponse nous (semblait) évidente : le jour où nous serions tous exterminés.
N'étions-nous pas les derniers transférés du bagne de Saint-Laurent ? "
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