Littératures camerounaises. Devoirs de mémoire et politiques du pardon

Par : Albert Jiatsa Jokeng, Carole Njiomouo Langa, Daniel Houli
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  • Nombre de pages344
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.52 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-343-19607-7
  • EAN9782343196077
  • Date de parution15/04/2020
  • CollectionQuestions contemporaines
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Les réflexions contenues dans cette collection d'essais évaluent les fondements littéraires du devoir de mémoire à l'endroit des figures référentielles et de l'Histoire du Cameroun. Elles participent donc de l'inscription de la mémoire et de la normalisation des politiques du pardon dans la psyché des Camerounais. Certes, tous les sujets graves de l'Histoire n'ont pas été abordés, mais le livre se veut linéament, et invite donc les nouveaux chercheurs à se pencher sur le sujet.
Le Cameroun est jeune, mais que d'histoires tragiques subies et dont la mise à la disponibilité de la population a été occultée. Face à ce mur du silence, il ne reste que l'écrivain. Nous sommes d'accord, tout comme Anne-Marie Thiesse dans La fabrique de l'écrivain national : entre littérature et politique, que les auteurs camerounais doivent se transformer en des "écrivain[s] nation[aux]", des "ingénieurs des âmes" qui posent des questions historiques de la nation en créant des oeuvres enracinées au Cameroun par le biais de la mémoire.
Les réflexions contenues dans cette collection d'essais évaluent les fondements littéraires du devoir de mémoire à l'endroit des figures référentielles et de l'Histoire du Cameroun. Elles participent donc de l'inscription de la mémoire et de la normalisation des politiques du pardon dans la psyché des Camerounais. Certes, tous les sujets graves de l'Histoire n'ont pas été abordés, mais le livre se veut linéament, et invite donc les nouveaux chercheurs à se pencher sur le sujet.
Le Cameroun est jeune, mais que d'histoires tragiques subies et dont la mise à la disponibilité de la population a été occultée. Face à ce mur du silence, il ne reste que l'écrivain. Nous sommes d'accord, tout comme Anne-Marie Thiesse dans La fabrique de l'écrivain national : entre littérature et politique, que les auteurs camerounais doivent se transformer en des "écrivain[s] nation[aux]", des "ingénieurs des âmes" qui posent des questions historiques de la nation en créant des oeuvres enracinées au Cameroun par le biais de la mémoire.