Liszt transcripteur ou la charité bien ordonnée suivi de Schubert et l'infini, à l'horizon, le désert

Par : Jacques Drillon

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  • Nombre de pages205
  • PrésentationBroché
  • Poids0.215 kg
  • Dimensions11,5 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7427-5463-6
  • EAN9782742754632
  • Date de parution10/03/2005
  • Collectionserie musique
  • ÉditeurActes Sud

Résumé

En transcrivant les œuvres des autres, Liszt a montré que la musique n'est fixée dans aucun état ; qu'en passant de main en main, d'époque en époque, elle est susceptible de revêtir d'autres formes, de changer, de se transformer, de muter ; qu'elle s'inscrit dans un processus qui ne connaît pas de terme. " Je ne peins pas l'être, disait Montaigne, je peins le passage. " Mais pourquoi Liszt s'est-il livré à ces innombrables arrangements, transcriptions, adaptations ? Voilà la question. Et tout Liszt est dans la réponse. L'infini, c'est l'inachevé comme l'inabouti : c'est presque l'indéfini. D'où vient ce sentiment très particulier de tendresse, de fraternité, que l'auditeur éprouve pour Schubert, et pour lui seulement ? Et pourquoi ce compositeur génial a-t-il abandonné en chemin tant d'œuvres qui promettaient des merveilles ? Tout cela se rejoint et ne forme peut-être qu'une seule interrogation : l'inachèvement est-il un symptôme ou une réponse ? Et d'abord, une œuvre est-elle jamais achevée ? " Je peins le passage... " Les deux ouvrages réunis ici ont paru en 1986 et 1988. Au-delà du portrait des deux compositeurs, et des solutions apportées aux problèmes qu'ils posent, c'est tout l'art des sons qui est mis en question. Deux êtres, deux pratiques, deux morales, deux techniques - mais une seule réalité : la musique ne s'arrête jamais.
En transcrivant les œuvres des autres, Liszt a montré que la musique n'est fixée dans aucun état ; qu'en passant de main en main, d'époque en époque, elle est susceptible de revêtir d'autres formes, de changer, de se transformer, de muter ; qu'elle s'inscrit dans un processus qui ne connaît pas de terme. " Je ne peins pas l'être, disait Montaigne, je peins le passage. " Mais pourquoi Liszt s'est-il livré à ces innombrables arrangements, transcriptions, adaptations ? Voilà la question. Et tout Liszt est dans la réponse. L'infini, c'est l'inachevé comme l'inabouti : c'est presque l'indéfini. D'où vient ce sentiment très particulier de tendresse, de fraternité, que l'auditeur éprouve pour Schubert, et pour lui seulement ? Et pourquoi ce compositeur génial a-t-il abandonné en chemin tant d'œuvres qui promettaient des merveilles ? Tout cela se rejoint et ne forme peut-être qu'une seule interrogation : l'inachèvement est-il un symptôme ou une réponse ? Et d'abord, une œuvre est-elle jamais achevée ? " Je peins le passage... " Les deux ouvrages réunis ici ont paru en 1986 et 1988. Au-delà du portrait des deux compositeurs, et des solutions apportées aux problèmes qu'ils posent, c'est tout l'art des sons qui est mis en question. Deux êtres, deux pratiques, deux morales, deux techniques - mais une seule réalité : la musique ne s'arrête jamais.
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