Linguistique du signifiant. Diachronie et synchronie de l'espagnol
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages210
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.35 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-35935-202-3
- EAN9782359352023
- Date de parution04/04/2017
- ÉditeurLambert-Lucas
- PréfacierDidier Bottineau
Résumé
Les dix articles réunis dans ce volume couvrent dix années d'un cheminement scientifique qui s'inscrit à la fois dans la linguistique historique (du latin parlé aux langues romanes) et dans une réflexion sur la nature du signe. A partir de textes de l'ancien castillan (XIe-XIIe siècles) jusqu'à la fin du Moyen Age (fin XVe - début XVIe), l'auteure retrace l'architecture d'une langue dans son premier état puis, siècle après siècle et comparativement avec la langue française, décrit les bouleversements qui ont conduit à l'espagnol pré-classique.
Les conséquences de la déflexivité avec l'apparition de l'accusatif prépositionnel, la réorganisation des pronoms relatifs, démonstratifs et adverbes déictiques ainsi que (dans le domaine verbal) l'auxiliarisation et le "non-respect" de la prétendue "concordance des temps" accompagnent un changement dans la représentation de l'espace et du temps et un recentrage sur le locuteur à l'aube de la Renaissance.
Adhérant à ce qu'on appelle aujourd'hui la linguistique du signifiant, courant de pensée qui met en relation de nombreux linguistes travaillant sur la motivation du signe, l'auteure a fait connaissance de la théorie des cognèmes de Didier Bottineau. L'approche cognitiviste et la priorité accordée à l'interlocution l'ont amenée à rompre avec une conception du signe héritée du structuralisme guillaumien et de son référent extralinguistique.
Du doctorat à l'habilitation, son chemin va d'une "linguistique du signe" à une "linguistique du signifiant".
Les conséquences de la déflexivité avec l'apparition de l'accusatif prépositionnel, la réorganisation des pronoms relatifs, démonstratifs et adverbes déictiques ainsi que (dans le domaine verbal) l'auxiliarisation et le "non-respect" de la prétendue "concordance des temps" accompagnent un changement dans la représentation de l'espace et du temps et un recentrage sur le locuteur à l'aube de la Renaissance.
Adhérant à ce qu'on appelle aujourd'hui la linguistique du signifiant, courant de pensée qui met en relation de nombreux linguistes travaillant sur la motivation du signe, l'auteure a fait connaissance de la théorie des cognèmes de Didier Bottineau. L'approche cognitiviste et la priorité accordée à l'interlocution l'ont amenée à rompre avec une conception du signe héritée du structuralisme guillaumien et de son référent extralinguistique.
Du doctorat à l'habilitation, son chemin va d'une "linguistique du signe" à une "linguistique du signifiant".
Les dix articles réunis dans ce volume couvrent dix années d'un cheminement scientifique qui s'inscrit à la fois dans la linguistique historique (du latin parlé aux langues romanes) et dans une réflexion sur la nature du signe. A partir de textes de l'ancien castillan (XIe-XIIe siècles) jusqu'à la fin du Moyen Age (fin XVe - début XVIe), l'auteure retrace l'architecture d'une langue dans son premier état puis, siècle après siècle et comparativement avec la langue française, décrit les bouleversements qui ont conduit à l'espagnol pré-classique.
Les conséquences de la déflexivité avec l'apparition de l'accusatif prépositionnel, la réorganisation des pronoms relatifs, démonstratifs et adverbes déictiques ainsi que (dans le domaine verbal) l'auxiliarisation et le "non-respect" de la prétendue "concordance des temps" accompagnent un changement dans la représentation de l'espace et du temps et un recentrage sur le locuteur à l'aube de la Renaissance.
Adhérant à ce qu'on appelle aujourd'hui la linguistique du signifiant, courant de pensée qui met en relation de nombreux linguistes travaillant sur la motivation du signe, l'auteure a fait connaissance de la théorie des cognèmes de Didier Bottineau. L'approche cognitiviste et la priorité accordée à l'interlocution l'ont amenée à rompre avec une conception du signe héritée du structuralisme guillaumien et de son référent extralinguistique.
Du doctorat à l'habilitation, son chemin va d'une "linguistique du signe" à une "linguistique du signifiant".
Les conséquences de la déflexivité avec l'apparition de l'accusatif prépositionnel, la réorganisation des pronoms relatifs, démonstratifs et adverbes déictiques ainsi que (dans le domaine verbal) l'auxiliarisation et le "non-respect" de la prétendue "concordance des temps" accompagnent un changement dans la représentation de l'espace et du temps et un recentrage sur le locuteur à l'aube de la Renaissance.
Adhérant à ce qu'on appelle aujourd'hui la linguistique du signifiant, courant de pensée qui met en relation de nombreux linguistes travaillant sur la motivation du signe, l'auteure a fait connaissance de la théorie des cognèmes de Didier Bottineau. L'approche cognitiviste et la priorité accordée à l'interlocution l'ont amenée à rompre avec une conception du signe héritée du structuralisme guillaumien et de son référent extralinguistique.
Du doctorat à l'habilitation, son chemin va d'une "linguistique du signe" à une "linguistique du signifiant".