Lîle errante. Nouvelles cubaines

Par : Liliane Hasson

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  • Nombre de pages241
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.31 kg
  • Dimensions13,7 cm × 20,2 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-296-08791-0
  • EAN9782296087910
  • Date de parution01/05/2011
  • CollectionLittératures
  • ÉditeurOrizons
  • PostfacierArmando Valdés-Zamora

Résumé

Qui sont les vingt-quatre écrivains de ce recueil ? Certains vivent à Cuba, d’autres pas. Certains sont dissidents, d’autres pas. Certains sont jeunes, d’autres… moins. Certains, diffusés de par le monde, traduits, restent inconnus dans leur pays natal. Tous évoquent Cuba, certains directement, avec une double casquette d’écrivains et de journalistes ; d’autres, la plupart, empruntent des chemins de traverse.
Toutes ces nouvelles, sauf deux, ont été écrites au vingt-et-unième siècle. Nous avons tenu à rendre hommage à deux grands auteurs décédés : Antonio Benítez Rojo et Carlos Victoria. Ce dernier n’a jamais été publié dans son pays natal ; le premier fut largement diffusé… jusqu’en 1980, date de son exil. Chez tous, se retrouvent les mêmes thèmes : la prostitution et les magouilles, la censure et la répression multiformes, la prison et l’exil.
Par leur poésie, leur imagination, leur humour, ils nous livrent une image de « L’Ile à bout de bras avec tous ses cafards », selon l’expression de Reinaldo Arenas.
Qui sont les vingt-quatre écrivains de ce recueil ? Certains vivent à Cuba, d’autres pas. Certains sont dissidents, d’autres pas. Certains sont jeunes, d’autres… moins. Certains, diffusés de par le monde, traduits, restent inconnus dans leur pays natal. Tous évoquent Cuba, certains directement, avec une double casquette d’écrivains et de journalistes ; d’autres, la plupart, empruntent des chemins de traverse.
Toutes ces nouvelles, sauf deux, ont été écrites au vingt-et-unième siècle. Nous avons tenu à rendre hommage à deux grands auteurs décédés : Antonio Benítez Rojo et Carlos Victoria. Ce dernier n’a jamais été publié dans son pays natal ; le premier fut largement diffusé… jusqu’en 1980, date de son exil. Chez tous, se retrouvent les mêmes thèmes : la prostitution et les magouilles, la censure et la répression multiformes, la prison et l’exil.
Par leur poésie, leur imagination, leur humour, ils nous livrent une image de « L’Ile à bout de bras avec tous ses cafards », selon l’expression de Reinaldo Arenas.
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