Libre cours. A l'épreuve de l'oisiveté
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- Nombre de pages200
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.36 kg
- Dimensions15,2 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN979-10-91902-95-3
- EAN9791091902953
- Date de parution07/07/2023
- CollectionLe silence des sirènes
- ÉditeurFario (Editions)
- TraducteurMarc Amfreville
- PréfacierLaurent Danon-Boileau
Résumé
L'oisiveté, qui n'est peut-être plus ce que les Anciens appelaient otium, est une épreuve de vérité parfois brutale. Elle confronte à l'imprévu le plus intempestif. Par l'originalité et la simplicité apparente de son style, Marion Milner occupe une place à part dans la pensée psychanalytique. Constamment, elle cherche à souligner les mouvements qui, au prix d'une réelle mise en danger, favorisent l'authenticité créative d'un sujet.
Ce livre date d'une période où elle n'était encore qu'une jeune peintre, cultivée et curieuse, explorant obstinément les méandres de la psyché d'une artiste. Elle en mesure au plus près la complexité sans recourir aux facilités de cette "langue morte" de la théorie convenue, dont Winnicott stigmatise les effets de méconnaissance dans les approches de la vie d'âme. Ces pages touchent aussi, avec fougue et lucidité, à la question de la singularité du féminin dans un univers aux exigences viriles et opérationnelles.
Enfin, cette interrogation de l'intime est une réflexion sur la place et l'emploi des images au temps de la montée des totalitarismes.
Ce livre date d'une période où elle n'était encore qu'une jeune peintre, cultivée et curieuse, explorant obstinément les méandres de la psyché d'une artiste. Elle en mesure au plus près la complexité sans recourir aux facilités de cette "langue morte" de la théorie convenue, dont Winnicott stigmatise les effets de méconnaissance dans les approches de la vie d'âme. Ces pages touchent aussi, avec fougue et lucidité, à la question de la singularité du féminin dans un univers aux exigences viriles et opérationnelles.
Enfin, cette interrogation de l'intime est une réflexion sur la place et l'emploi des images au temps de la montée des totalitarismes.
L'oisiveté, qui n'est peut-être plus ce que les Anciens appelaient otium, est une épreuve de vérité parfois brutale. Elle confronte à l'imprévu le plus intempestif. Par l'originalité et la simplicité apparente de son style, Marion Milner occupe une place à part dans la pensée psychanalytique. Constamment, elle cherche à souligner les mouvements qui, au prix d'une réelle mise en danger, favorisent l'authenticité créative d'un sujet.
Ce livre date d'une période où elle n'était encore qu'une jeune peintre, cultivée et curieuse, explorant obstinément les méandres de la psyché d'une artiste. Elle en mesure au plus près la complexité sans recourir aux facilités de cette "langue morte" de la théorie convenue, dont Winnicott stigmatise les effets de méconnaissance dans les approches de la vie d'âme. Ces pages touchent aussi, avec fougue et lucidité, à la question de la singularité du féminin dans un univers aux exigences viriles et opérationnelles.
Enfin, cette interrogation de l'intime est une réflexion sur la place et l'emploi des images au temps de la montée des totalitarismes.
Ce livre date d'une période où elle n'était encore qu'une jeune peintre, cultivée et curieuse, explorant obstinément les méandres de la psyché d'une artiste. Elle en mesure au plus près la complexité sans recourir aux facilités de cette "langue morte" de la théorie convenue, dont Winnicott stigmatise les effets de méconnaissance dans les approches de la vie d'âme. Ces pages touchent aussi, avec fougue et lucidité, à la question de la singularité du féminin dans un univers aux exigences viriles et opérationnelles.
Enfin, cette interrogation de l'intime est une réflexion sur la place et l'emploi des images au temps de la montée des totalitarismes.