Libérons nos communes !. Une défense de la subsidiarité ascendante

Par : Ismaël Benslimane, Raul Magni-Berton

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  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.192 kg
  • Dimensions12,4 cm × 19,0 cm × 1,7 cm
  • ISBN978-2-13-083381-9
  • EAN9782130833819
  • Date de parution22/05/2024
  • CollectionGénération libre
  • ÉditeurPUF

Résumé

A l'heure d'une Europe en crise, les communes pourraient-elles être la source de stabilité et de prospérité recherchée ? En effet, alors que les frontières des Etats d'Europe n'ont cessé de fluctuer au cours des siècles, les communes et grands centres urbains, quant à eux, sont restés les mêmes. Partant de ce constat, cet ouvrage analyse la manière dont s'articulent pouvoir, autonomie et dépendance aux entités territoriales supérieures (jusqu'à l'Etat-nation) au sein de ces villes.
Et les auteurs de défendre, contre une centralisation à outrance qui caractérise nos structures politiques en France mais aussi au sein de l'Union européenne, une délégation des prises de décision à l'échelon politique le plus bas, à savoir la commune. Ce principe porte un nom : la subsidiarité ascendante. Celle-ci confère davantage de pouvoir décisionnaire aux villes, leur permettant ainsi de gagner en souveraineté, à l'Etat en efficacité, et de satisfaire davantage les citoyens.
C'est grâce à elle que les communes pourront agir efficacement sur des questions jusqu'alors traitées de manière trop uniforme par un Etat central éloigné des réelles préoccupations des habitants.
A l'heure d'une Europe en crise, les communes pourraient-elles être la source de stabilité et de prospérité recherchée ? En effet, alors que les frontières des Etats d'Europe n'ont cessé de fluctuer au cours des siècles, les communes et grands centres urbains, quant à eux, sont restés les mêmes. Partant de ce constat, cet ouvrage analyse la manière dont s'articulent pouvoir, autonomie et dépendance aux entités territoriales supérieures (jusqu'à l'Etat-nation) au sein de ces villes.
Et les auteurs de défendre, contre une centralisation à outrance qui caractérise nos structures politiques en France mais aussi au sein de l'Union européenne, une délégation des prises de décision à l'échelon politique le plus bas, à savoir la commune. Ce principe porte un nom : la subsidiarité ascendante. Celle-ci confère davantage de pouvoir décisionnaire aux villes, leur permettant ainsi de gagner en souveraineté, à l'Etat en efficacité, et de satisfaire davantage les citoyens.
C'est grâce à elle que les communes pourront agir efficacement sur des questions jusqu'alors traitées de manière trop uniforme par un Etat central éloigné des réelles préoccupations des habitants.