" Il n'y a plus de clochards mais des esdéhèfes, plus de handicapés moteurs mais des personnes à mobilité réduite, plus de balayeurs mais des techniciens de surface, plus de Noirs, que des Blacks, plus de putes, seulement des personnes prostituées, plus de brutes, juste des invalides de l'affectivité, plus de nains, rien que des personnes de petite taille (ou pire : verticalement défavorisées). C'est comme ça ! C'est le parler " correct ", et même politically correct, comme on dit aux Etats-Unis où les ravages de cette nouvelle langue de bois sont impressionnants. Hypocrite, grotesque, ce parler-là, c'est du tabou en kit et... à la mode ! Au fait, parlez-vous tabou ?
" Il n'y a plus de clochards mais des esdéhèfes, plus de handicapés moteurs mais des personnes à mobilité réduite, plus de balayeurs mais des techniciens de surface, plus de Noirs, que des Blacks, plus de putes, seulement des personnes prostituées, plus de brutes, juste des invalides de l'affectivité, plus de nains, rien que des personnes de petite taille (ou pire : verticalement défavorisées). C'est comme ça ! C'est le parler " correct ", et même politically correct, comme on dit aux Etats-Unis où les ravages de cette nouvelle langue de bois sont impressionnants. Hypocrite, grotesque, ce parler-là, c'est du tabou en kit et... à la mode ! Au fait, parlez-vous tabou ?