Lettres et carnets de guerre. De la Lozère à l'Algérie, du Maroc à l'Oise (1912-1918)

Par : Jacqueline Chabrol
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages280
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-16030-6
  • EAN9782343160306
  • Date de parution28/11/2018
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

En 1902, préférant l'uniforme à la soutane, Justin Meynadier s'engage dans l'armée. En 1912, il abandonne sa Lozère natale pour faire carrière en Algérie puis au Maroc. Rentré en France en 1915, il participe, avec la 12 Division du Maroc, à la seconde bataille de Champagne. En 1916, nommé capitaine à titre provisoire, il est contraint par une maladie de quitter momentanément son régiment. Guéri, il rejoint ses zouaves, en centre d'instruction puis en première ligne dans l'Oise.
Capitaine à titre définitif au 8' Régiment de Marche de Tirailleurs, il prend part aux combats qui, au printemps et en été 1918, permettent à l'armée française de stopper la dernière offensive allemande. De 1912 à 1918, Justin Meynadier n'a cessé d'écrire aux siens. Outre un passionnant témoignage sur l'Afrique du Nord coloniale, il laisse sur la Grande Guerre deux " récits " du front de l'Oise : celui, rassurant, destiné à sa famille et celui, terrible, vécu au ras des tranchées et consigné dans ses papiers personnels.
C'est ce qui fait l'originalité de ce recueil enrichi de cartes et de croquis.
En 1902, préférant l'uniforme à la soutane, Justin Meynadier s'engage dans l'armée. En 1912, il abandonne sa Lozère natale pour faire carrière en Algérie puis au Maroc. Rentré en France en 1915, il participe, avec la 12 Division du Maroc, à la seconde bataille de Champagne. En 1916, nommé capitaine à titre provisoire, il est contraint par une maladie de quitter momentanément son régiment. Guéri, il rejoint ses zouaves, en centre d'instruction puis en première ligne dans l'Oise.
Capitaine à titre définitif au 8' Régiment de Marche de Tirailleurs, il prend part aux combats qui, au printemps et en été 1918, permettent à l'armée française de stopper la dernière offensive allemande. De 1912 à 1918, Justin Meynadier n'a cessé d'écrire aux siens. Outre un passionnant témoignage sur l'Afrique du Nord coloniale, il laisse sur la Grande Guerre deux " récits " du front de l'Oise : celui, rassurant, destiné à sa famille et celui, terrible, vécu au ras des tranchées et consigné dans ses papiers personnels.
C'est ce qui fait l'originalité de ce recueil enrichi de cartes et de croquis.