Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Rédacteur en chef du Petit Journal, organe du parti social français (P.S.F.) du colonel de La Roque, conseiller littéraire chez Flammarion, Christian...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
En librairie
Résumé
Rédacteur en chef du Petit Journal, organe du parti social français (P.S.F.) du colonel de La Roque, conseiller littéraire chez Flammarion, Christian Melchior-Bonnet adresse, de septembre 1939 à avril 1942, une correspondance journalière à sa femme, restée en province lors de la déclaration de guerre.
Relation sur le moment présent et sur la vie quotidienne, rapport sur l'opinion et sur les conditions d'existence de la presse, analyse de la situation internationale, réflexion sur le gouvernement, tableau du comportement et des exigences de l'occupant, regard sur la collaboration, cette correspondance constitue un rare document d'histoire. Ecrite au fil de la plume, elle montre les réactions à vif d'un homme peu à peu amené à s'interroger sur le régime institué par l'Etat français et à mesurer le prix de plus en plus élevé de l'Occupation.
Au cœur d'un réseau dense de relations - François Mauriac, Paul Morand, Roger Martin du Gard, Henry de Montherlant et bien d'autres - ces lettres permettent de mieux comprendre l'ambiance morale et le climat intellectuel de ces années noires.