Lettres du paradis

Par : Iman Mersal, Ghislaine Herbéra
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages16
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.078 kg
  • Dimensions17,1 cm × 22,1 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-494753-17-4
  • EAN9782494753174
  • Date de parution05/02/2025
  • CollectionRacines
  • ÉditeurLe port a jauni
  • TraducteurRichard Jacquemond

Résumé

Septième titre de la collection des Racines autour d'un autre champ lexical et sonore. Ici, nous revenons sur une racine déjà explorée dans le premier volume de la série, "Les lettres du jardin" : la racine j-n-n nourrit les mots janna (paradis), jounayna (jardin), djinn (esprit malin), janîne (foetus), majnoûn (fou). Mais aussi les mots jounân (voile, rideau, bouclier), jounna (armure) ou janân (l'âme, le coeur) : cette racine est en fait liée à tout ce qui est enveloppé par la nuit, plongé dans l'obscurité, ce que l'on ne voit pas, qui est dissimulé à la compréhension immédiate...
C'est cette dimension qui est explorée par Iman Mersal, grande poétesse contemporaine égyptienne. Il nous paraît intéressant de publier plusieurs ouvrages autour d'une même racine, pour attester que chaque personne peut s'adonner au jeu, chercher ce qui relie ces mots, et qu'il n'y a pas une seule réponse à la compréhension du lien qui les unit. Iman Mersal propose une interprétation de ce champ de mots très différente de celle de Layla Zarqa dans "Les lettres du jardin", laquelle avait choisi de s'adonner à un exercice d'écriture proche de l'oulipo, en inventant un principe narratif ou littéraire qui reliait les mots de la racine entre eux.
La poésie d'Iman Mersal explore le chemin de la vie : du foetus au monde des esprits, de la naissance à l'au-delà de la mort. Le long de ce chemin, elle questionne la folie des hommes, le moment où tout bascule. Elle interroge le lien entre les mondes et poétiquement, les raisons linguistiques qui placent, en arabe, ces mots dans le même champ. ? L'illustration d'Herbera vient sublimer l'écriture : Herbera grave, imprime, peint, laisse couler.
Dans la matière même de son image, elle répond au thème de la trace évoquée par la poésie de Mersal. Herbera pose sur ses peintures des personnages en noir et monotypes, mi-réels mi-esprits, mi-hommes mi-animaux, au croisement des mondes.
Septième titre de la collection des Racines autour d'un autre champ lexical et sonore. Ici, nous revenons sur une racine déjà explorée dans le premier volume de la série, "Les lettres du jardin" : la racine j-n-n nourrit les mots janna (paradis), jounayna (jardin), djinn (esprit malin), janîne (foetus), majnoûn (fou). Mais aussi les mots jounân (voile, rideau, bouclier), jounna (armure) ou janân (l'âme, le coeur) : cette racine est en fait liée à tout ce qui est enveloppé par la nuit, plongé dans l'obscurité, ce que l'on ne voit pas, qui est dissimulé à la compréhension immédiate...
C'est cette dimension qui est explorée par Iman Mersal, grande poétesse contemporaine égyptienne. Il nous paraît intéressant de publier plusieurs ouvrages autour d'une même racine, pour attester que chaque personne peut s'adonner au jeu, chercher ce qui relie ces mots, et qu'il n'y a pas une seule réponse à la compréhension du lien qui les unit. Iman Mersal propose une interprétation de ce champ de mots très différente de celle de Layla Zarqa dans "Les lettres du jardin", laquelle avait choisi de s'adonner à un exercice d'écriture proche de l'oulipo, en inventant un principe narratif ou littéraire qui reliait les mots de la racine entre eux.
La poésie d'Iman Mersal explore le chemin de la vie : du foetus au monde des esprits, de la naissance à l'au-delà de la mort. Le long de ce chemin, elle questionne la folie des hommes, le moment où tout bascule. Elle interroge le lien entre les mondes et poétiquement, les raisons linguistiques qui placent, en arabe, ces mots dans le même champ. ? L'illustration d'Herbera vient sublimer l'écriture : Herbera grave, imprime, peint, laisse couler.
Dans la matière même de son image, elle répond au thème de la trace évoquée par la poésie de Mersal. Herbera pose sur ses peintures des personnages en noir et monotypes, mi-réels mi-esprits, mi-hommes mi-animaux, au croisement des mondes.
Des choses m'ont échappé
12,99 €
Des choses m'ont échappé
12,99 €