Né à Vichy le 29 août 1881, Valery Larbaud est poète, nouvelliste, romancier et traducteur. Héritier d'une famille fortunée, il parcourt l'Europe à partir de 1898 à grands frais, continent qu'il chante dans Poèmes par un riche amateur ou Ouvres françaises de M. Barnabooth, avant de publier un roman, Fermina Márquez, et un premier recueil de nouvelles (Enfantines). Il fréquente tous les milieux littéraires. Polyglotte, il fait connaître en France des ouvres majeures de la littérature étrangère, dont celles de Samuel Butter et de James Joyce. Devenu aphasique en 1935, il finit sa vie paralysé. Il reçoit le Grand Prix national des Lettres en 1952 et meurt à Vichy en 1957.
Lettres d'un retiré
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- Nombre de pages216
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.219 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,8 cm × 1,7 cm
- ISBN2-7103-0538-0
- EAN9782710305385
- Date de parution01/12/1992
- CollectionVermillon
- ÉditeurTable Ronde (La)
Résumé
La correspondance est un genre littéraire qui convenait à Valery Larbaud, apologiste de la lenteur. De son Bourdonnais natal ou de ses retraites étrangères, il envoyait lettres et cartes postales, autant de traces pour mieux connaître la vie de cet homme retranché. Les lettres ici réunies, inédites ou introuvables, sont adressées à sa mère, à Paul Claudel, à Charles-Louis Philippe, à Marguerite Audoux, à Jacques Rivière, à Alain-Fournier, à Francis Jammes, à Léon Werth, à Edouard Dujardin, à Saint-John Perse, à Paul Morand, à Pierre Girard, à Charles Du Bos, à Emmanuel Lochac, à Edmond Jaloux, à Robert Tournaud et à Tristan Tzara.
Larbaud y parle de son travail, du Bourbonnais, de ses découvertes, de l'amitié, de ses voyages ; Ce ne sont pas des billets brefs et bâclés, mais des morceaux de littérature, un Baedeker de l'intelligence et de la modernité. Une invitation en Larbaldie.
Larbaud y parle de son travail, du Bourbonnais, de ses découvertes, de l'amitié, de ses voyages ; Ce ne sont pas des billets brefs et bâclés, mais des morceaux de littérature, un Baedeker de l'intelligence et de la modernité. Une invitation en Larbaldie.
La correspondance est un genre littéraire qui convenait à Valery Larbaud, apologiste de la lenteur. De son Bourdonnais natal ou de ses retraites étrangères, il envoyait lettres et cartes postales, autant de traces pour mieux connaître la vie de cet homme retranché. Les lettres ici réunies, inédites ou introuvables, sont adressées à sa mère, à Paul Claudel, à Charles-Louis Philippe, à Marguerite Audoux, à Jacques Rivière, à Alain-Fournier, à Francis Jammes, à Léon Werth, à Edouard Dujardin, à Saint-John Perse, à Paul Morand, à Pierre Girard, à Charles Du Bos, à Emmanuel Lochac, à Edmond Jaloux, à Robert Tournaud et à Tristan Tzara.
Larbaud y parle de son travail, du Bourbonnais, de ses découvertes, de l'amitié, de ses voyages ; Ce ne sont pas des billets brefs et bâclés, mais des morceaux de littérature, un Baedeker de l'intelligence et de la modernité. Une invitation en Larbaldie.
Larbaud y parle de son travail, du Bourbonnais, de ses découvertes, de l'amitié, de ses voyages ; Ce ne sont pas des billets brefs et bâclés, mais des morceaux de littérature, un Baedeker de l'intelligence et de la modernité. Une invitation en Larbaldie.