
Lettres à un disciple
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- Poids0.095 kg
- Dimensions10,5 cm × 15,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-7555-0053-0
- EAN9782755500530
- Date de parution14/09/2011
- CollectionLa petite collection
- ÉditeurMille et une Nuits
- TraducteurAdolphe Bossert
Résumé
Convaincu d’être victime d’une conspiration du silence, Arthur Schopenhauer (1788-1860) s’improvise chef d’Église. Il confie à ses premiers lecteurs enthousiastes, ses « apôtres », le soin de répandre la bonne nouvelle. Dans les lettres qu’il adresse de 1847 à 1859 à Julius Frauenstädt (1813-1879), son principal disciple et « archi-évangéliste », il se montre tel qu’il est : féroce avec ses ennemis, mais aussi entièrement dévoué à son œuvre, qu’il sait géniale.
Elles donnent à voir l’homme derrière le philosophe prônant la compassion et l’abnégation. Un homme fort peu bouddhiste, toujours à l’affût de la moindre allusion, même critique, à ses écrits et avouant sans vergogne son intérêt pour les tables tournantes et autres phénomènes paranormaux.
Elles donnent à voir l’homme derrière le philosophe prônant la compassion et l’abnégation. Un homme fort peu bouddhiste, toujours à l’affût de la moindre allusion, même critique, à ses écrits et avouant sans vergogne son intérêt pour les tables tournantes et autres phénomènes paranormaux.
Convaincu d’être victime d’une conspiration du silence, Arthur Schopenhauer (1788-1860) s’improvise chef d’Église. Il confie à ses premiers lecteurs enthousiastes, ses « apôtres », le soin de répandre la bonne nouvelle. Dans les lettres qu’il adresse de 1847 à 1859 à Julius Frauenstädt (1813-1879), son principal disciple et « archi-évangéliste », il se montre tel qu’il est : féroce avec ses ennemis, mais aussi entièrement dévoué à son œuvre, qu’il sait géniale.
Elles donnent à voir l’homme derrière le philosophe prônant la compassion et l’abnégation. Un homme fort peu bouddhiste, toujours à l’affût de la moindre allusion, même critique, à ses écrits et avouant sans vergogne son intérêt pour les tables tournantes et autres phénomènes paranormaux.
Elles donnent à voir l’homme derrière le philosophe prônant la compassion et l’abnégation. Un homme fort peu bouddhiste, toujours à l’affût de la moindre allusion, même critique, à ses écrits et avouant sans vergogne son intérêt pour les tables tournantes et autres phénomènes paranormaux.