Lettres à Reynaldo Hahn - Grand Format

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Marcel Proust - Lettres à Reynaldo Hahn.
Reynaldo Hahn a été sans doute un des êtres que Marcel Proust a le plus aimés. Proust avait vingt-deux ans lorsqu'il le rencontra pour la première... Lire la suite
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Résumé

Reynaldo Hahn a été sans doute un des êtres que Marcel Proust a le plus aimés. Proust avait vingt-deux ans lorsqu'il le rencontra pour la première fois, au printemps de 1894. De cette première entrevue devait sortir une amitié à la fois profonde et délicate. Ces cent quatre-vingt-quinze lettres en témoignent. La première date de 1894 ; la dernière de 1915. L'intérêt d'une telle correspondance est exceptionnel : elle nous fait connaître un Proust intime, charmant au sens le plus fort du terme, souvent cocasse, quelquefois grave, toujours merveilleusement sensible.
Chose curieuse et bien digne d'être notée : les dernières lettres ne sont ni plus ni moins gracieuses et chatoyantes que les premières. Celles-ci datent de l'époque où Proust crayonnait ses nouvelles les moins réussies, celles-là de l'époque où il écrit A la recherche du temps perdu : il a déjà publié Swann, il a acquis sa personnalité, il travaille à une oeuvre dont il mesure parfaitement l'importance.
Et cet énorme progrès, ses lettres à son meilleur ami ne le font même pas soupçonner. On a reproduit dans cette édition les dessins dont Proust, pour Reynaldo Hahn, et pour lui seul, parsemait ses lettres.

Caractéristiques

  • Date de parution
    23/04/1956
  • Editeur
  • ISBN
    2-07-025284-1
  • EAN
    9782070252848
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    264 pages
  • Poids
    0.371 Kg
  • Dimensions
    14,0 cm × 20,5 cm × 2,2 cm

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À propos de l'auteur

Marcel Proust

Biographie de Marcel Proust

Ecrivain né et mort à Paris (1871-1922). Fréquente assidûment les milieux mondains et les salons littéraires de son temps. Adopte les conceptions esthétiques de Ruskin qu’il traduit. A la mort de sa mère, en 1905, s’isole de plus en plus dans sa chambre, luttant contre des crises d’asthme, pour parachever jusqu’au dernier instant son ouvre majeure, dont plus d’un tiers sera posthume. Historien, journaliste, essayiste, né en 1892 au Vésinet.
Ami de Proust, de Malraux, de Drieu la Rochelle, a été directeur de Marianne. Critique de la bourgeoisie et historien de l’Europe. Mort en 1976 à Paris.

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