Lettres à Monseigneur de Langres

Par : Edme Boursault

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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-914894-10-4
  • EAN9782914894104
  • Date de parution01/01/2004
  • CollectionD'hier à aujourd'hui
  • ÉditeurEnnoïa

Résumé

Edme Boursault (1638-1701), issu de la petite bourgeoisie provinciale, sut être reconnu et apprécié des grands du royaume grâce à sa plume. Dramaturge, fabuliste, auteur d'épigrammmes, grand épistolier, il rencontra aussi le succès dans ses gazettes, aussi longtemps du moins qu'elles n'étaient pas interdites. Sa correspondance avec Monseigneur l'évêque et duc de Langres, qu'il fit éditer deux ans après la mort de son correspondant, nous fait découvrir l'homme de lettres, partie prenante dans les querelles de son temps, mais aussi un chroniqueur de la vie parisienne qui, sous couvert d'anecdotes divertissantes, dénonce la superbe des puissants et l'absence d'engagement généreux et sincère de nombre d'ecclésiastiques. Boursault n'est ni La Fontaine, ni Molière - Boileau " ne parle de moi qu'en passant, parce qu'il n'a pas cru devoir s'arrêter sur une matière si médiocre ", écrit-il lui-même - et notre histoire littéraire l'a quelque peu oublié. Fallait-il pour autant continuer à le laisser dans l'ombre ?
Edme Boursault (1638-1701), issu de la petite bourgeoisie provinciale, sut être reconnu et apprécié des grands du royaume grâce à sa plume. Dramaturge, fabuliste, auteur d'épigrammmes, grand épistolier, il rencontra aussi le succès dans ses gazettes, aussi longtemps du moins qu'elles n'étaient pas interdites. Sa correspondance avec Monseigneur l'évêque et duc de Langres, qu'il fit éditer deux ans après la mort de son correspondant, nous fait découvrir l'homme de lettres, partie prenante dans les querelles de son temps, mais aussi un chroniqueur de la vie parisienne qui, sous couvert d'anecdotes divertissantes, dénonce la superbe des puissants et l'absence d'engagement généreux et sincère de nombre d'ecclésiastiques. Boursault n'est ni La Fontaine, ni Molière - Boileau " ne parle de moi qu'en passant, parce qu'il n'a pas cru devoir s'arrêter sur une matière si médiocre ", écrit-il lui-même - et notre histoire littéraire l'a quelque peu oublié. Fallait-il pour autant continuer à le laisser dans l'ombre ?