Ce récit est « Un texte centré pour un homme égocentré », qui a pris autant de soin à {dé}ranger ses mots, sans dessus dessous, sans règle particulière, à demi, chevauchant, barrés ou solitaires.. Ici les mots, les phrases dansent, volent, se cherchent, explosent, accusent, aiment, pointent.. Dans ce joyeux bordel, chacun à la place qui lui revient et tout est alors limpide.
Cette plume incessante sort « mille pensées à la minute », dans un flot enivrant, spontané. L’auteur plante sa plume au cœur, dans une explosion de sincérité, elle est piquante, cynique et folle,
surtout maladivement poétique.
Certes court récit d’une centaine de page, ce plaidoyer saisissant se lit d’une traite. Lorsque Christophe Esnault entre dans notre tête, il y reste ; ce genre de personne ne vous laisse plus tranquille une fois rencontrée, lue ou écoutée.
Elle habite votre esprit.
Elle ne s’arrête jamais, elle est solaire, rieuse, bavarde. On voudrait qu’elle aie toujours à nous dire.
Au point d’en être saoulé.
Drogué.
Nous aussi.
Il y a des rencontres qui marquent l’esprit : une présence, une personnalité, un charisme, un tempérament ou aussi un flot de paroles déversé le temps de la « rencontre ». Ou tout ça à la fois. Quand elles entrent en scène, c’est la tornade, tout vole, tout brille, tout éclate et une fois la porte refermée derrière elles, on reste seule, avec pour unique bruit, le silence qui nous enveloppe.
Comme une chape de plomb qui nous tombe dessus.
Alors vous vous demandez ce qu’il vient de se passer.
Et vous reprenez votre respiration, enfin.
« Lettre au recours chimique » n’est pas que le long monologue d’un fou, c’est d’abord les proses d’espoir d’un homme qui ne veut plus souffrir.
Puisse cette lettre faire changer les choses ♥
Que dire d’un récit qui ne se raconte pas ?
Ce récit est « Un texte centré pour un homme égocentré », qui a pris autant de soin à {dé}ranger ses mots, sans dessus dessous, sans règle particulière, à demi, chevauchant, barrés ou solitaires.. Ici les mots, les phrases dansent, volent, se cherchent, explosent, accusent, aiment, pointent.. Dans ce joyeux bordel, chacun à la place qui lui revient et tout est alors limpide.
Cette plume incessante sort « mille pensées à la minute », dans un flot enivrant, spontané. L’auteur plante sa plume au cœur, dans une explosion de sincérité, elle est piquante, cynique et folle, surtout maladivement poétique.
Certes court récit d’une centaine de page, ce plaidoyer saisissant se lit d’une traite. Lorsque Christophe Esnault entre dans notre tête, il y reste ; ce genre de personne ne vous laisse plus tranquille une fois rencontrée, lue ou écoutée.
Elle habite votre esprit.
Elle ne s’arrête jamais, elle est solaire, rieuse, bavarde. On voudrait qu’elle aie toujours à nous dire.
Au point d’en être saoulé.
Drogué.
Nous aussi.
Il y a des rencontres qui marquent l’esprit : une présence, une personnalité, un charisme, un tempérament ou aussi un flot de paroles déversé le temps de la « rencontre ». Ou tout ça à la fois. Quand elles entrent en scène, c’est la tornade, tout vole, tout brille, tout éclate et une fois la porte refermée derrière elles, on reste seule, avec pour unique bruit, le silence qui nous enveloppe.
Comme une chape de plomb qui nous tombe dessus.
Alors vous vous demandez ce qu’il vient de se passer.
Et vous reprenez votre respiration, enfin.
« Lettre au recours chimique » n’est pas que le long monologue d’un fou, c’est d’abord les proses d’espoir d’un homme qui ne veut plus souffrir.
Puisse cette lettre faire changer les choses ♥