Lettre à Claude Erignac l'ami assassiné

Par : Jean Orizet

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  • Nombre de pages104
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.095 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7491-0149-2
  • EAN9782749101491
  • Date de parution01/06/2003
  • ÉditeurLe Cherche Midi

Résumé

Tu ne sais pas à quel point tu me manques. La première chose que je regarde en m'éveillant, le matin, est notre photo. Prise au vol en 1967, à Paris, elle était la photo du bonheur. Deux hommes jeunes -toi et moi- sourire aux lèvres, encadrent une femme, jeune et souriante elle aussi. Tu venais de me la présenter. Elle sera la compagne de ma vie. Cette photo a été mon viatique, mon action de grâces pour avoir reçu le cadeau de ton amitié et le miracle de l'amour. Jamais je n'aurais imaginé que l'absence d'un être cher pût être aussi douloureuse. Depuis ce soir du 6 février 1998 où tu tombas foudroyé par les balles d'un tueur dans une ruelle d'Ajaccio, tu surgis dans mes rêves et visites mes jours. Quand je regarde notre photo, l'espace d'une seconde ma peine se fait plus légère. Je te parle comme si de rien n'était. Ce livre est une absolue nécessité intérieure, autant pour me rassurer que pour nier ton absence, puisque, en moi, tu es vivant.
Tu ne sais pas à quel point tu me manques. La première chose que je regarde en m'éveillant, le matin, est notre photo. Prise au vol en 1967, à Paris, elle était la photo du bonheur. Deux hommes jeunes -toi et moi- sourire aux lèvres, encadrent une femme, jeune et souriante elle aussi. Tu venais de me la présenter. Elle sera la compagne de ma vie. Cette photo a été mon viatique, mon action de grâces pour avoir reçu le cadeau de ton amitié et le miracle de l'amour. Jamais je n'aurais imaginé que l'absence d'un être cher pût être aussi douloureuse. Depuis ce soir du 6 février 1998 où tu tombas foudroyé par les balles d'un tueur dans une ruelle d'Ajaccio, tu surgis dans mes rêves et visites mes jours. Quand je regarde notre photo, l'espace d'une seconde ma peine se fait plus légère. Je te parle comme si de rien n'était. Ce livre est une absolue nécessité intérieure, autant pour me rassurer que pour nier ton absence, puisque, en moi, tu es vivant.