Les yeux trois. Le Déplacement des yeux

Par : Jean-Luc Parant
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  • Nombre de pages185
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.165 kg
  • Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7143-0818-X
  • EAN9782714308184
  • Date de parution02/05/2003
  • ÉditeurCorti (Editions José)

Résumé

Ce texte où les mots se font boules volantes et se tirent hors de l'immobilité pour se déplacer dans la légèreté du jour, là où les yeux parcourent le ciel et volent à nu dans l'insaisissable pour avaler le visible. Et des mots aux yeux, nous sommes dépouillés du poids de la terre, libérés de la fixité de l'invisible comme propulsés au dehors de l'immobilité et de la matière, au dehors de l'animalité. Ou nous sommes pressés dans la transparence de la pupille voyante et jetés à vif dans la matière dénudée comme projetés au dedans de la mobilité et de l'image, au dedans de l'humanité. Et le glissement se fait de l'extension contre terre à la fuite dans l'espace, de l'être figé dans la nuit à l'être mobile dans le jour : c'est l'arrachement au touchable, l'extraction hors de la nuit ou le parcours de l'intouchable, le voyage au creux de l'iris et du visible. C'est que ce texte, comme la vue, nous concentre tout entier dans la trajectoire du regard, nous loge tout entier dans les globes ailés pour nous déplacer tout entier dans le visible et nous faire tout entier homme. Ce texte où les mots se font boules volantes et se tirent hors de l'immobilité pour se déplacer dans la légèreté du jour, là où les yeux parcourent le ciel et volent à nu dans l'insaisissable pour avaler le visible. Et des mots aux yeux, nous sommes dépouillés du poids de la terre, libérés de la fixité de l'invisible comme propulsés au dehors de l'immobilité et de la matière, au dehors de l'animalité. Ou nous sommes pressés dans la transparence de la pupille voyante et jetés à vif dans la matière dénudée comme projetés au dedans de la mobilité et de l'image, au dedans de l'humanité. Et le glissement se fait de l'extension contre terre à la fuite dans l'espace, de l'être figé dans la nuit à l'être mobile dans le jour : c'est l'arrachement au touchable, l'extraction hors de la nuit ou le parcours de l'intouchable, le voyage au creux de l'iris et du visible. C'est que ce texte, comme la vue, nous concentre tout entier dans la trajectoire du regard, nous loge tout entier dans les globes ailés pour nous déplacer tout entier dans le visible et nous faire tout entier homme.
Ce texte où les mots se font boules volantes et se tirent hors de l'immobilité pour se déplacer dans la légèreté du jour, là où les yeux parcourent le ciel et volent à nu dans l'insaisissable pour avaler le visible. Et des mots aux yeux, nous sommes dépouillés du poids de la terre, libérés de la fixité de l'invisible comme propulsés au dehors de l'immobilité et de la matière, au dehors de l'animalité. Ou nous sommes pressés dans la transparence de la pupille voyante et jetés à vif dans la matière dénudée comme projetés au dedans de la mobilité et de l'image, au dedans de l'humanité. Et le glissement se fait de l'extension contre terre à la fuite dans l'espace, de l'être figé dans la nuit à l'être mobile dans le jour : c'est l'arrachement au touchable, l'extraction hors de la nuit ou le parcours de l'intouchable, le voyage au creux de l'iris et du visible. C'est que ce texte, comme la vue, nous concentre tout entier dans la trajectoire du regard, nous loge tout entier dans les globes ailés pour nous déplacer tout entier dans le visible et nous faire tout entier homme. Ce texte où les mots se font boules volantes et se tirent hors de l'immobilité pour se déplacer dans la légèreté du jour, là où les yeux parcourent le ciel et volent à nu dans l'insaisissable pour avaler le visible. Et des mots aux yeux, nous sommes dépouillés du poids de la terre, libérés de la fixité de l'invisible comme propulsés au dehors de l'immobilité et de la matière, au dehors de l'animalité. Ou nous sommes pressés dans la transparence de la pupille voyante et jetés à vif dans la matière dénudée comme projetés au dedans de la mobilité et de l'image, au dedans de l'humanité. Et le glissement se fait de l'extension contre terre à la fuite dans l'espace, de l'être figé dans la nuit à l'être mobile dans le jour : c'est l'arrachement au touchable, l'extraction hors de la nuit ou le parcours de l'intouchable, le voyage au creux de l'iris et du visible. C'est que ce texte, comme la vue, nous concentre tout entier dans la trajectoire du regard, nous loge tout entier dans les globes ailés pour nous déplacer tout entier dans le visible et nous faire tout entier homme.
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