Ce récit fortement autobiographique, où deux amis, réduits pour vivre au pompage de l'eau des marais de Bohême, s'attachent à un chien errant, a tout de la parabole : dans un décor de misère et d'hiver glacial le chien Sacha, corniaud famélique, est comme l'expression de la douleur et de l'absurdité des destins humains.
Ce récit fortement autobiographique, où deux amis, réduits pour vivre au pompage de l'eau des marais de Bohême, s'attachent à un chien errant, a tout de la parabole : dans un décor de misère et d'hiver glacial le chien Sacha, corniaud famélique, est comme l'expression de la douleur et de l'absurdité des destins humains.