Les vitraux de Roger Bissière. Cathédrale Saint-Etienne de Metz

Par : Christian Schmitt
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  • Nombre de pages80
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.88 kg
  • Dimensions24,5 cm × 32,5 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-37535-009-6
  • EAN9782375350096
  • Date de parution01/05/2016
  • ÉditeurParaiges (Editions des)
  • PréfacierDominique Gros
  • PréfacierJean-François Jaeger

Résumé

Roger Bissière (1886-1964), peintre de la nouvelle Ecole de Paris, est le premier artiste à avoir réalisé des vitraux non-figuratifs pour une cathédrale. Ce fut le cas en 1960, lors de la pose en la cathédrale Saint-Etienne de Metz de ses deux verrières situées respectivement dans les tympans nord et sud. Grâce à cette multitude colorée non figurative, il réussit à restituer une étonnante musicalité polyphonique.
Celle-ci exalte tout particulièrement l'embrasement mystique qui caractérise son oeuvre exécutée à Metz. En effet, ce peintre de la lumière, sensible au Cantique de Frère Soleil de saint François d'Assise, réussit à restituer l'illumination intérieure des êtres et des choses selon une formule qu'il affectionne : "une création tissée de lumière." Il définit lui-même cette formule comme un chant polyphonique en ces termes : "Chantent, polyphoniques, les rouges, les verts, les jaunes, les oranges, les bleus, qui dressent la treille vibrante de lumière.
Les couleurs ne décrivent pas, elles évoquent, elles ont une teneur de printemps ou d'été, de ciel, de feu, de feuillage ou de terre, mais surtout de lumière. La lumière est principe de vie de toute la création, d'illumination de la matière, et ce qui donne vie aux couleurs sont des variétés de la lumière incorporée, incarnée."
Roger Bissière (1886-1964), peintre de la nouvelle Ecole de Paris, est le premier artiste à avoir réalisé des vitraux non-figuratifs pour une cathédrale. Ce fut le cas en 1960, lors de la pose en la cathédrale Saint-Etienne de Metz de ses deux verrières situées respectivement dans les tympans nord et sud. Grâce à cette multitude colorée non figurative, il réussit à restituer une étonnante musicalité polyphonique.
Celle-ci exalte tout particulièrement l'embrasement mystique qui caractérise son oeuvre exécutée à Metz. En effet, ce peintre de la lumière, sensible au Cantique de Frère Soleil de saint François d'Assise, réussit à restituer l'illumination intérieure des êtres et des choses selon une formule qu'il affectionne : "une création tissée de lumière." Il définit lui-même cette formule comme un chant polyphonique en ces termes : "Chantent, polyphoniques, les rouges, les verts, les jaunes, les oranges, les bleus, qui dressent la treille vibrante de lumière.
Les couleurs ne décrivent pas, elles évoquent, elles ont une teneur de printemps ou d'été, de ciel, de feu, de feuillage ou de terre, mais surtout de lumière. La lumière est principe de vie de toute la création, d'illumination de la matière, et ce qui donne vie aux couleurs sont des variétés de la lumière incorporée, incarnée."