Les visages de Victoria Bergman Tome 1
Persona

Par : Erik Axl Sund
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  • Nombre de pages480
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.34 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,6 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-330-03277-7
  • EAN9782330032777
  • Date de parution12/11/2014
  • CollectionBabel noir
  • ÉditeurActes Sud
  • TraducteurRémi Cassaigne

Résumé

Une psychothérapeute suit deux patients difficiles : Samuel Baï, un enfant soldat de la Sierra Leone, et Victoria Bergman, une femme visiblement traumatisée depuis l'enfance. Tous deux présentent les mêmes symptômes : des signes de personnalités multiples. Avec ce premier roman sombre et rageur, Erik Axl Sund signe un polar post-punk électrisant et remet l'urgence au coeur du genre.
Une psychothérapeute suit deux patients difficiles : Samuel Baï, un enfant soldat de la Sierra Leone, et Victoria Bergman, une femme visiblement traumatisée depuis l'enfance. Tous deux présentent les mêmes symptômes : des signes de personnalités multiples. Avec ce premier roman sombre et rageur, Erik Axl Sund signe un polar post-punk électrisant et remet l'urgence au coeur du genre.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
Ingrid B. - 1Decitre Bellecour
5/5
Un concurrent solide face à la suprématie de Millénium!!!
7 ans après le succès planétaire de « Millénium », suivi par la lame de fond Lackberg, Actes Sud frappe à nouveau un grand coup avec ce 1er volet des « Visages de Victoria Bergman ». Aujourd'hui, en Suède... Des enfants, tous immigrés clandestins, disparaissent dans l'indifférence générale avant d'être retrouvés morts quelques semaines plus tard, atrocement torturés. Dès les 1ères lignes, nous sommes happés par la subjectivité multiple de la meurtrière, dont on découvre très vite et à travers, soit ses souvenirs, soit les confidences qu'elle livre anarchiquement à sa psy, qu'elle a subi depuis sa prime enfance l'innommable. Mais qui est vraiment Victoria Bergman? Grâce à une trame narrative suggestive et habilement construite autour de l'éclatement de la personnalité de la jeune femme, nous plongeons dans une intrigue hypnotique, de la Sierra Leone où des enfants sont dressés à tuer, jusqu'aux quartiers chics de grandes villes suédoises où des notables cachent les pires vices derrière le masque de la respectabilité. Un premier volet qui se dévore littéralement, et qui nous laisse abasourdi par ses spectaculaires revirements de situation. Du très, très grand art !!!
7 ans après le succès planétaire de « Millénium », suivi par la lame de fond Lackberg, Actes Sud frappe à nouveau un grand coup avec ce 1er volet des « Visages de Victoria Bergman ». Aujourd'hui, en Suède... Des enfants, tous immigrés clandestins, disparaissent dans l'indifférence générale avant d'être retrouvés morts quelques semaines plus tard, atrocement torturés. Dès les 1ères lignes, nous sommes happés par la subjectivité multiple de la meurtrière, dont on découvre très vite et à travers, soit ses souvenirs, soit les confidences qu'elle livre anarchiquement à sa psy, qu'elle a subi depuis sa prime enfance l'innommable. Mais qui est vraiment Victoria Bergman? Grâce à une trame narrative suggestive et habilement construite autour de l'éclatement de la personnalité de la jeune femme, nous plongeons dans une intrigue hypnotique, de la Sierra Leone où des enfants sont dressés à tuer, jusqu'aux quartiers chics de grandes villes suédoises où des notables cachent les pires vices derrière le masque de la respectabilité. Un premier volet qui se dévore littéralement, et qui nous laisse abasourdi par ses spectaculaires revirements de situation. Du très, très grand art !!!
Plongeon psychologique dans les enfances fragmentées
Deux femmes, l'une psychologue, l'autre inspecteur, sont confrontés à plusieurs affaires sordides touchant à l'enfance. Sofia Zetterlund intervient auprès d'un ancien enfant-soldat du Sierra Leone, d'une femme violée et meurtrie dès l'enfance et doit recueillir le témoignage d'un pédophile reconnu. Jeannette Kihlberg, elle, se retrouve face au cadavre d'un enfant mutilé, momifié et abandonné près d'une bouche de métro. Dans leur ombre, la "femme-corneille" prépare un écrin funeste pour un nouvel enfant... Psychologiquement abyssal, ce polar à deux voies est fragmenté par des passages où les visages meurtris et meurtriers sont livrés à leur propre souffrance et violence. Un nouveau coup d'éclat dans la lignée noire et dense des polars suédois
Deux femmes, l'une psychologue, l'autre inspecteur, sont confrontés à plusieurs affaires sordides touchant à l'enfance. Sofia Zetterlund intervient auprès d'un ancien enfant-soldat du Sierra Leone, d'une femme violée et meurtrie dès l'enfance et doit recueillir le témoignage d'un pédophile reconnu. Jeannette Kihlberg, elle, se retrouve face au cadavre d'un enfant mutilé, momifié et abandonné près d'une bouche de métro. Dans leur ombre, la "femme-corneille" prépare un écrin funeste pour un nouvel enfant... Psychologiquement abyssal, ce polar à deux voies est fragmenté par des passages où les visages meurtris et meurtriers sont livrés à leur propre souffrance et violence. Un nouveau coup d'éclat dans la lignée noire et dense des polars suédois

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.2/5
sur 6 notes dont 4 avis lecteurs
Sombre polar
Premier tome d'une des trilogies nordique les plus sombre de ces dernières années Persona est à lire absolument!!!* * pour les fans de polars haletants qui dérangent...
Premier tome d'une des trilogies nordique les plus sombre de ces dernières années Persona est à lire absolument!!!* * pour les fans de polars haletants qui dérangent...
Bonne pioche!
Dans le Nord de l'Europe, il n'est pas rare qu' ils se mettent à plusieurs pour nous offrir des histoires horribles qui nous passionnent jusqu'au bout. C'est le cas ici. Une nouvelle trilogie, me direz-vous, eh bien oui. Bien tordue et avec des rebondissements et des morts à la pelle. Je viens de terminer le deuxième volume.
Dans le Nord de l'Europe, il n'est pas rare qu' ils se mettent à plusieurs pour nous offrir des histoires horribles qui nous passionnent jusqu'au bout. C'est le cas ici. Une nouvelle trilogie, me direz-vous, eh bien oui. Bien tordue et avec des rebondissements et des morts à la pelle. Je viens de terminer le deuxième volume.
Persona
A force de lire des billets dithyrambique sur cette série, je me devais de me lancer dans la lecture de la trilogie. Ca se lit bien, le rythme est soutenu sans être trop rapide. Les personnages sont fouillés et les rebondissements de l’enquête intéressants. Quelque chose me dit que, dans ce premier opus, les auteurs n’ont fait que tisser la trame de leur histoire, sans en dévoiler toutes les facettes. Et puis les auteurs nous baladent dans le temps et sur différents continents : ainsi Sofia est-elle partie soigner les enfants-soldats en Sierra Leone dans les années 1980. Nous croisons aussi un père et sa fille russe pendant la Grande Famine dont on devine l’anthropophagie. Chaque situation, à sa manière, nous parle de la part sombre de l’être humain. Aucun personnage n’est ce qu’il paraît être, et chacun se révèle petit à petit par ses actes. On sent une urgence dans ce roman, un suspens qui ne cesse de monter. Le second opus sera-t-il aussi bon ? Affaire à suivre….. L’image que je retiendrai : Celle de la fête foraine où se déroule le premier drame et celle où se déroule celui qui clôt ce premier volet. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/06/persona-les-visages-de-victoria-bergman-1-erik-axl-sund
A force de lire des billets dithyrambique sur cette série, je me devais de me lancer dans la lecture de la trilogie. Ca se lit bien, le rythme est soutenu sans être trop rapide. Les personnages sont fouillés et les rebondissements de l’enquête intéressants. Quelque chose me dit que, dans ce premier opus, les auteurs n’ont fait que tisser la trame de leur histoire, sans en dévoiler toutes les facettes. Et puis les auteurs nous baladent dans le temps et sur différents continents : ainsi Sofia est-elle partie soigner les enfants-soldats en Sierra Leone dans les années 1980. Nous croisons aussi un père et sa fille russe pendant la Grande Famine dont on devine l’anthropophagie. Chaque situation, à sa manière, nous parle de la part sombre de l’être humain. Aucun personnage n’est ce qu’il paraît être, et chacun se révèle petit à petit par ses actes. On sent une urgence dans ce roman, un suspens qui ne cesse de monter. Le second opus sera-t-il aussi bon ? Affaire à suivre….. L’image que je retiendrai : Celle de la fête foraine où se déroule le premier drame et celle où se déroule celui qui clôt ce premier volet. https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/06/persona-les-visages-de-victoria-bergman-1-erik-axl-sund
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