Les vers didactiques fondamentaux sur la doctrine de la voie du milieu (Mūla-Madhyamaka-kārikā) de Nāgārjuna

Par : Jérôme Ducor, Henry W. Isler
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages666
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.06 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 4,0 cm
  • ISBN978-2-600-06502-3
  • EAN9782600065023
  • Date de parution02/03/2024
  • CollectionRayon Histoire
  • ÉditeurDroz
  • PréfacierTom j. f. Tillemans

Résumé

Les Mula-Madhyamaka-karika de Nagarjuna (IIIe s.) constituent l'un des textes philosophiques les plus fondamentaux du bouddhisme dit du Grand Véhicule. Inspirés des sermons du Buddha sur la sagesse transcendante et le vide universel, ils subsistent aussi bien dans leur original sanscrit qu'en traductions chinoises et tibétaine. La lecture de ces vers ne peut cependant pas se dispenser d'un commentaire, en raison même de la subtilité de leur pensée.
Le cours que leur a consacré Jacques May cinq années durant à l'Université de Lausanne offre précisément mieux qu'une simple traduction : une immersion profonde dans les méandres de ce texte, en suivant le propre cheminement de la pensée de leur commentateur. On trouvera ici une analyse claire et serrée de ces vers, recourant non seulement aux ressorts de la philologie des langues asiatiques, mais aussi aux ressources d'une réflexion particulièrement bien formée aux concepts occidentaux.
Les Mula-Madhyamaka-karika de Nagarjuna (IIIe s.) constituent l'un des textes philosophiques les plus fondamentaux du bouddhisme dit du Grand Véhicule. Inspirés des sermons du Buddha sur la sagesse transcendante et le vide universel, ils subsistent aussi bien dans leur original sanscrit qu'en traductions chinoises et tibétaine. La lecture de ces vers ne peut cependant pas se dispenser d'un commentaire, en raison même de la subtilité de leur pensée.
Le cours que leur a consacré Jacques May cinq années durant à l'Université de Lausanne offre précisément mieux qu'une simple traduction : une immersion profonde dans les méandres de ce texte, en suivant le propre cheminement de la pensée de leur commentateur. On trouvera ici une analyse claire et serrée de ces vers, recourant non seulement aux ressorts de la philologie des langues asiatiques, mais aussi aux ressources d'une réflexion particulièrement bien formée aux concepts occidentaux.