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  • Nombre de pages1404
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.824 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 5,5 cm
  • ISBN978-2-940628-88-9
  • EAN9782940628889
  • Date de parution21/05/2021
  • CollectionSyrtes Poche
  • ÉditeurEditions des Syrtes
  • TraducteurXénia Yagello
  • PostfacierNikolaï Golovkine

Résumé

Conçu dans les années 1960 en Union soviétique et diffusé sous le manteau, Les Vaincus est publié pour la première fois en 1992 avant de connaître un immense succès et de devenir un livre culte. Roman de la tragédie russe après l'avènement de la dictature bolchevique, il évoque les derniers feux d'une noblesse héroïque et d'une intelligentsia idéaliste qui tentent de survivre sous la terreur stalinienne.
Conçu dans les années 1960 en Union soviétique et diffusé sous le manteau, Les Vaincus est publié pour la première fois en 1992 avant de connaître un immense succès et de devenir un livre culte. Roman de la tragédie russe après l'avènement de la dictature bolchevique, il évoque les derniers feux d'une noblesse héroïque et d'une intelligentsia idéaliste qui tentent de survivre sous la terreur stalinienne.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Emouvant
Un très beau "gros" livre qui vous prend les trippes. Il y a tant à raconter que 1094 pages ne sont pas de trops. Il y a dans cet ouvrage de l'émotion,de l'amour,des drames mais aussi de l'espoir. Parfois un peu décourageant par la taille mais on ne peu s'empêcher d'aller au bout. Vraiment captivant.
Un très beau "gros" livre qui vous prend les trippes. Il y a tant à raconter que 1094 pages ne sont pas de trops. Il y a dans cet ouvrage de l'émotion,de l'amour,des drames mais aussi de l'espoir. Parfois un peu décourageant par la taille mais on ne peu s'empêcher d'aller au bout. Vraiment captivant.
  • Passionnant
  • Emouvant
  • Bouleversant
Une saga intéressante
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, même si je dois vous avouer que quelquefois j’étais découragée par l’épaisseur et le nombre de pages !! Les vaincus est un roman très riche et le lecteur sera comblé d’apprendre autant de choses, tant au niveau historique (mais sans être assommé par des dates à n’en plus finir), qu’au niveau de la vie courante au moment de la dictature bolchévique. Nous suivons tour à tour des aristocrates déchus, des ouvriers, des musiciens persécutés par le communisme d’après 1917. La pauvreté, la tristesse de porter un nom dont on est fier mais que l’on doit cacher, le départ dans les camps de travail, la recherche d’un travail pour survivre, la nostalgie d’un temps qui ne reviendra pas, sont les sentiments qui habitent les personnages de ce roman. Tous sont très attachants. Le récit commence avec Iolotchka, qui porte la souffrance en elle de voir tant de gens de sa caste banni ou tué, Assia, la jeune femme pétillante, Sergueï l’oncle de celle-ci qui fait tout pour l’épargner et la protéger, jusqu’à ce qu’il soit appeler en camp de travail forcé et bien d’autres qui ont beaucoup de choses à nous apprendre et que l’on découvre avec beaucoup de plaisir tout au long de cette lecture. Sur la couverture du roman il est indiqué que celui-ci est une saga. Et c’est vrai. Nous suivons sur plusieurs années, plusieurs personnages et leur famille. Ils se croiseront souvent et nous donneront à découvrir des scènes de vie de l’époque tout en abordant des sujets passionnants tels que la politique, la religion, l’art, l’amour dans un pays gouverné par des communistes radicaux. Quelques passages m’ont paru bien longs, mais ce livre reste une très belle lecture. La traduction est agréable et les notes de bas de page sont très utiles, car au fil des pages, vous vous plairez à découvrir ce qu’est un zipoune ou qui était Andreï Kisselev. Je vous recommande donc ce livre et vous conseille de ne pas vous laisser impressionner par son épaisseur, vous passeriez à côté d’une belle lecture.
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman, même si je dois vous avouer que quelquefois j’étais découragée par l’épaisseur et le nombre de pages !! Les vaincus est un roman très riche et le lecteur sera comblé d’apprendre autant de choses, tant au niveau historique (mais sans être assommé par des dates à n’en plus finir), qu’au niveau de la vie courante au moment de la dictature bolchévique. Nous suivons tour à tour des aristocrates déchus, des ouvriers, des musiciens persécutés par le communisme d’après 1917. La pauvreté, la tristesse de porter un nom dont on est fier mais que l’on doit cacher, le départ dans les camps de travail, la recherche d’un travail pour survivre, la nostalgie d’un temps qui ne reviendra pas, sont les sentiments qui habitent les personnages de ce roman. Tous sont très attachants. Le récit commence avec Iolotchka, qui porte la souffrance en elle de voir tant de gens de sa caste banni ou tué, Assia, la jeune femme pétillante, Sergueï l’oncle de celle-ci qui fait tout pour l’épargner et la protéger, jusqu’à ce qu’il soit appeler en camp de travail forcé et bien d’autres qui ont beaucoup de choses à nous apprendre et que l’on découvre avec beaucoup de plaisir tout au long de cette lecture. Sur la couverture du roman il est indiqué que celui-ci est une saga. Et c’est vrai. Nous suivons sur plusieurs années, plusieurs personnages et leur famille. Ils se croiseront souvent et nous donneront à découvrir des scènes de vie de l’époque tout en abordant des sujets passionnants tels que la politique, la religion, l’art, l’amour dans un pays gouverné par des communistes radicaux. Quelques passages m’ont paru bien longs, mais ce livre reste une très belle lecture. La traduction est agréable et les notes de bas de page sont très utiles, car au fil des pages, vous vous plairez à découvrir ce qu’est un zipoune ou qui était Andreï Kisselev. Je vous recommande donc ce livre et vous conseille de ne pas vous laisser impressionner par son épaisseur, vous passeriez à côté d’une belle lecture.
  • Passionnant
  • XXe siècle