Les turpitudes du cercle

Par : Lou Ma Ho
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  • Nombre de pages112
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions14,7 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-915384-18-5
  • EAN9782915384185
  • Date de parution01/11/2012
  • ÉditeurCenton

Résumé

« Savez-vous combien de respirations il vous reste ? ». Encore faut-il s’être posé la question ! Dans un Extrême-Orient féodal où l’on croise des empereurs, de grands samouraïs et de vieux moines toujours rusés, les héros attachants de ces treize contes zen originaux doivent tous commencer par trouver la question, la leur, avant de pouvoir s’engager sur le chemin de sa résolution. Le Maître peut être celui qui met sur la voie – comme Maître Yoshida, dont les flèches visent un autre chose impalpable.
Mais, il peut aussi, tel un rônin ou un jeune disciple, être faillible et soumis à épreuve. Ainsi Maître Chang, fort gourmand de pâtisseries, défié par un chat guerrier redoutable, le confesse : « on peut être un grand Maître, on n’en reste pas moins un homme ! ». Au-delà de la logique des choses, subtilité, poésie et humour, savamment distillés dans ces récits, permettent de goûter (sans grimacer) l’apaisement libérateur auquel conduisent les principes de la philosophie zen.
Et, comme on s’initierait à un thé vert grand cru venu d’Asie, il faut y revenir plusieurs fois pour mieux encore en apprécier la saveur douce-amère.
« Savez-vous combien de respirations il vous reste ? ». Encore faut-il s’être posé la question ! Dans un Extrême-Orient féodal où l’on croise des empereurs, de grands samouraïs et de vieux moines toujours rusés, les héros attachants de ces treize contes zen originaux doivent tous commencer par trouver la question, la leur, avant de pouvoir s’engager sur le chemin de sa résolution. Le Maître peut être celui qui met sur la voie – comme Maître Yoshida, dont les flèches visent un autre chose impalpable.
Mais, il peut aussi, tel un rônin ou un jeune disciple, être faillible et soumis à épreuve. Ainsi Maître Chang, fort gourmand de pâtisseries, défié par un chat guerrier redoutable, le confesse : « on peut être un grand Maître, on n’en reste pas moins un homme ! ». Au-delà de la logique des choses, subtilité, poésie et humour, savamment distillés dans ces récits, permettent de goûter (sans grimacer) l’apaisement libérateur auquel conduisent les principes de la philosophie zen.
Et, comme on s’initierait à un thé vert grand cru venu d’Asie, il faut y revenir plusieurs fois pour mieux encore en apprécier la saveur douce-amère.