Les traductions françaises des Mille et une Nuits. Etude des versions Galland, Trébutien et Mardrus précédée de Traditions, traductions, trahisons

Par : Sylvette Larzul
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages233
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.29 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,3 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-7384-4183-1
  • EAN9782738441836
  • Date de parution01/05/2000
  • CollectionCritiques Littéraires
  • ÉditeurL'Harmattan
  • AuteurClaude Brémond

Résumé

C'est au prodigieux succès des traductions que les Mille et une nuits doivent leur renommée universelle. Parmi les plus célèbres figurent les premières traductions françaises, dont l'infidélité ne fut sans doute pas étrangère à leur heureuse fortune. Si la pionnière, celle d'Antoine Galland - publiée au début du XVIIIe siècle et diffusée dans l'Europe entière - acclimate l'oeuvre, elle n'en constitue pas moins, en son temps, une remarquable initiation à l'Orient et elle respecte, plus qu'il a souvent été dit, l'esprit des contes arabes.
Aussi ne fut-elle jamais éclipsée par la pâle version Trébutien, parue dans la première moitié du XIXe siècle. Quant à la traduction "littérale et complète" de Joseph-Charles Mardrus, elle repose sur une réécriture érotisée, et parfois burlesque, destinée à séduire les lecteurs de la Belle époque. Aujourd'hui existent d'autres versions plus conformes aux originaux, mais qui n'offrent pour l'heure qu'une partie des contes.
C'est au prodigieux succès des traductions que les Mille et une nuits doivent leur renommée universelle. Parmi les plus célèbres figurent les premières traductions françaises, dont l'infidélité ne fut sans doute pas étrangère à leur heureuse fortune. Si la pionnière, celle d'Antoine Galland - publiée au début du XVIIIe siècle et diffusée dans l'Europe entière - acclimate l'oeuvre, elle n'en constitue pas moins, en son temps, une remarquable initiation à l'Orient et elle respecte, plus qu'il a souvent été dit, l'esprit des contes arabes.
Aussi ne fut-elle jamais éclipsée par la pâle version Trébutien, parue dans la première moitié du XIXe siècle. Quant à la traduction "littérale et complète" de Joseph-Charles Mardrus, elle repose sur une réécriture érotisée, et parfois burlesque, destinée à séduire les lecteurs de la Belle époque. Aujourd'hui existent d'autres versions plus conformes aux originaux, mais qui n'offrent pour l'heure qu'une partie des contes.