Les saisons russes. Au théâtre du Châtelet

Par : Marie-Noëlle Robert, Patricia Faivre

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  • Nombre de pages142
  • PrésentationRelié
  • Poids0.955 kg
  • Dimensions22,0 cm × 29,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-914330-43-X
  • EAN9782914330435
  • Date de parution19/01/2004
  • ÉditeurMagellan & Cie

Résumé

1909 : à l'initiative de Serge Diaghilev et Gabriel Astruc, le " Tout Paris " découvre les ballets russes au Théâtre du Châtelet.
Les saisons russes présentées en ce lieu, et en particulier celle de 2002-2003, sont à la fois la mémoire d'une époque et le reflet du prodigieux potentiel artistique de la Russie d'aujourd'hui. Petrouchka, Shéhérazade, les Danses polovtsiennes, le Spectre de la rose et l'Oiseau de feu : ce livre rend hommage à la modernité de ces œuvres du début du XXe siècle, dont les représentations au Châtelet firent l'effet d'une bombe. C'était au temps où Nijinski et Pavlova, dans des décors et costumes de bakst, faisaient tourner toutes les têtes. Il illustre aussi la renaissance du Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg (ex-Kirov), sous l'impulsion de Valery Gergiev, entre respect de la tradition et exigence créatrice. La reconstitution de la version originale de La Bayadère, comme les nouvelles productions de Casse-Noisette, par le peintre et sculpteur Mikhaïl Chemiakin, ou de l'opéra fantastique Le Démon, confié à Lev Dodine, en sont la preuve. Au fil de ces pages, illustrées par les images captivantes de Marie-Noëlle Robert, se dévoile peu à peu le lien organique tissé entre Saint-Pétersbourg et Paris. Entre le Mariinski et le Châtelet, qui peut s'enorgueillir d'avoir su ouvrir grand ses portes, aujourd'hui comme hier, aux plus étonnants créateurs de la scène russe.
1909 : à l'initiative de Serge Diaghilev et Gabriel Astruc, le " Tout Paris " découvre les ballets russes au Théâtre du Châtelet.
Les saisons russes présentées en ce lieu, et en particulier celle de 2002-2003, sont à la fois la mémoire d'une époque et le reflet du prodigieux potentiel artistique de la Russie d'aujourd'hui. Petrouchka, Shéhérazade, les Danses polovtsiennes, le Spectre de la rose et l'Oiseau de feu : ce livre rend hommage à la modernité de ces œuvres du début du XXe siècle, dont les représentations au Châtelet firent l'effet d'une bombe. C'était au temps où Nijinski et Pavlova, dans des décors et costumes de bakst, faisaient tourner toutes les têtes. Il illustre aussi la renaissance du Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg (ex-Kirov), sous l'impulsion de Valery Gergiev, entre respect de la tradition et exigence créatrice. La reconstitution de la version originale de La Bayadère, comme les nouvelles productions de Casse-Noisette, par le peintre et sculpteur Mikhaïl Chemiakin, ou de l'opéra fantastique Le Démon, confié à Lev Dodine, en sont la preuve. Au fil de ces pages, illustrées par les images captivantes de Marie-Noëlle Robert, se dévoile peu à peu le lien organique tissé entre Saint-Pétersbourg et Paris. Entre le Mariinski et le Châtelet, qui peut s'enorgueillir d'avoir su ouvrir grand ses portes, aujourd'hui comme hier, aux plus étonnants créateurs de la scène russe.