Les romans de Tristan et Yseut. Thomas d'Angleterre, Beroul, Folies d'Oxford et de Berne
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- Nombre de pages230
- PrésentationBroché
- Poids0.315 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-84909-275-0
- EAN9782849092750
- Date de parution01/08/2007
- CollectionL'encyclopédie médiévale
- ÉditeurPaléo
- TraducteurNathalie Desgrugillers-Billard
Résumé
" Je suis Tristan qui vit dans la tristesse et dans la peine ! Je suis Tristant qui souffre par amour pour la reine Yseut ! Vous souvenez-vous Branguain. de notre départ d'Irlande ? La reine
vous tenait par la main droite. et a posé votre main dans la mienne. Rappelez-vous, belle Branguain. la reine me recommanda Yseut et vous. Elle m'a demandé de vous protéger et de veiller sur vous. Elle vous a remis un petit baril : je me souviens qu'il était très petit. Elle insista pour que vous le gardiez précieusement. Une fois en pleine mer, la chaleur devint pesante. Je portais un bliaut et j'avais très chaud : la sueur commençait à m'indisposer. J'ai demandé à boire. Un valet s'empara du petit baril et versa le liquide dans un hanap qu'il me tendit. Je bus pour me désaltérer et en offris la moitié à Iseut. Cette boisson, chère Branguain, je l'ai bue pour mon malheur. "
" Je suis Tristan qui vit dans la tristesse et dans la peine ! Je suis Tristant qui souffre par amour pour la reine Yseut ! Vous souvenez-vous Branguain. de notre départ d'Irlande ? La reine
vous tenait par la main droite. et a posé votre main dans la mienne. Rappelez-vous, belle Branguain. la reine me recommanda Yseut et vous. Elle m'a demandé de vous protéger et de veiller sur vous. Elle vous a remis un petit baril : je me souviens qu'il était très petit. Elle insista pour que vous le gardiez précieusement. Une fois en pleine mer, la chaleur devint pesante. Je portais un bliaut et j'avais très chaud : la sueur commençait à m'indisposer. J'ai demandé à boire. Un valet s'empara du petit baril et versa le liquide dans un hanap qu'il me tendit. Je bus pour me désaltérer et en offris la moitié à Iseut. Cette boisson, chère Branguain, je l'ai bue pour mon malheur. "