Entre la gazinière et l'évier : traditionnellement l'endroit privilégié pour aboutir à un bon morceau. En duo, peinard, presque par hasard. Pour The No Comprendo, Catherine Ringer et Fred Chichin changent la dimension qui était la leur jusqu'au succès tardif de "Marcia Baïla" en 1986. En travaillant une charpente rock-funk tirant vers des sons plus ronds, plus massifs aussi, une boule d'énergie, fulgurante et chic à la fois où l'écriture soignée tient le premier rôle avec, en second degré, une dance-music agitant pieds, bassin et mollets pendant quatre minutes de pur plaisir.
En faisant appel à un producteur au pedigree prestigieux, Tony Visconti (Bowie ou Iggy Pop, entre autres), le couple de musiciens met toutes les chances de son côté, et ça marche au-delà de tout espoir, les tubes s'enchaînent sans faiblir. Avec "Andy", ils se font même remarquer outre-Manche et outre-Atlantique.
Entre la gazinière et l'évier : traditionnellement l'endroit privilégié pour aboutir à un bon morceau. En duo, peinard, presque par hasard. Pour The No Comprendo, Catherine Ringer et Fred Chichin changent la dimension qui était la leur jusqu'au succès tardif de "Marcia Baïla" en 1986. En travaillant une charpente rock-funk tirant vers des sons plus ronds, plus massifs aussi, une boule d'énergie, fulgurante et chic à la fois où l'écriture soignée tient le premier rôle avec, en second degré, une dance-music agitant pieds, bassin et mollets pendant quatre minutes de pur plaisir.
En faisant appel à un producteur au pedigree prestigieux, Tony Visconti (Bowie ou Iggy Pop, entre autres), le couple de musiciens met toutes les chances de son côté, et ça marche au-delà de tout espoir, les tubes s'enchaînent sans faiblir. Avec "Andy", ils se font même remarquer outre-Manche et outre-Atlantique.