Les registres de la modernité dans la littérature gabonaise. Tome 2, Maurice Okoumba Nkoghe, Laurent Owondo et Justine Mintsa
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- Nombre de pages177
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.205 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-296-02598-1
- EAN9782296025981
- Date de parution28/02/2007
- CollectionRecherche et Pédagogie
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierGrégoire Biyogo
Résumé
" Pour espérer se nommer littérature, la littérature doit encore être repensée dans l'étendue de ses œuvres et dans son champ de production critique et théorique, dans la totalité de ses activités au sens bourdieusin d'un lieu de tensions, de forces, de turbulences, de crises et de confrontations des intérêts à travers le champ symbolique activé par la production de ses textes de fiction et ses travaux critiques.
Seul un tel contrat de lecture autorise l'institution littéraire et la conforte. C'est qu'il n'y eut jamais de littérature que lorsque celle-ci était sans cesse questionnée, pensée et repensée, étudiée, configurée et reconfigurée comme attestation du temps, de la subversion des connaissances dominantes, par la critique, la théorie et de plus en plus, par la philosophie. "
Seul un tel contrat de lecture autorise l'institution littéraire et la conforte. C'est qu'il n'y eut jamais de littérature que lorsque celle-ci était sans cesse questionnée, pensée et repensée, étudiée, configurée et reconfigurée comme attestation du temps, de la subversion des connaissances dominantes, par la critique, la théorie et de plus en plus, par la philosophie. "
" Pour espérer se nommer littérature, la littérature doit encore être repensée dans l'étendue de ses œuvres et dans son champ de production critique et théorique, dans la totalité de ses activités au sens bourdieusin d'un lieu de tensions, de forces, de turbulences, de crises et de confrontations des intérêts à travers le champ symbolique activé par la production de ses textes de fiction et ses travaux critiques.
Seul un tel contrat de lecture autorise l'institution littéraire et la conforte. C'est qu'il n'y eut jamais de littérature que lorsque celle-ci était sans cesse questionnée, pensée et repensée, étudiée, configurée et reconfigurée comme attestation du temps, de la subversion des connaissances dominantes, par la critique, la théorie et de plus en plus, par la philosophie. "
Seul un tel contrat de lecture autorise l'institution littéraire et la conforte. C'est qu'il n'y eut jamais de littérature que lorsque celle-ci était sans cesse questionnée, pensée et repensée, étudiée, configurée et reconfigurée comme attestation du temps, de la subversion des connaissances dominantes, par la critique, la théorie et de plus en plus, par la philosophie. "