Les races maudites de Bretagne. Les Cacous en Bretagne - Caquins de Bretagne
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- Nombre de pages150
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.21 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-8240-1199-8
- EAN9782824011998
- Date de parution10/10/2025
- CollectionArremouludas
- ÉditeurEditions des régionalismes
Résumé
On connaît les perplexités des savants méridionaux devant l'énigme indéchiffrable des Caquins ou Cagots, qu'on retrouve dans les Pyrénées comme en Bretagne. Est-ce aux Juifs, aux Goths, aux Sarrazins ; est-ce à une antique race venue par les îles qu'il faut les faire remonter ? Par delà la Garonne, on flotte encore entre ces hypothèses plus ou moins bizarres. Dans le Nord, la question est plus avancée pour ce qui est de ce pays de Bretagne...
". A travers quatre études historiques de la fin du XIXe siècle, on peut se faire une meilleure idée de ce que furent les races maudites en Bretagne, connues sous les noms de cacous, caquins, caqueux. Ainsi, une ordonnance ducale de 1456 leur reprochait durement d'avoir acquis des richesses par leur travail ; elle ne leur permettait de fabriquer que des cordes, des mesures à blé et quelques autres objets faciles à confectionner au dedans des maisons : mais pas de labourage, pas de commerce...
Et le dernier duc de Bretagne, François II, par son édit de 1475, défendait " aux hommes et femmes nommés caqueux de voyager dans le duché sans avoir une pièce de drap rouge sur leur robe pour éviter le danger que pourraient encourir ceux qui auraient commerce avec eux pour ne pas les connaître ".
". A travers quatre études historiques de la fin du XIXe siècle, on peut se faire une meilleure idée de ce que furent les races maudites en Bretagne, connues sous les noms de cacous, caquins, caqueux. Ainsi, une ordonnance ducale de 1456 leur reprochait durement d'avoir acquis des richesses par leur travail ; elle ne leur permettait de fabriquer que des cordes, des mesures à blé et quelques autres objets faciles à confectionner au dedans des maisons : mais pas de labourage, pas de commerce...
Et le dernier duc de Bretagne, François II, par son édit de 1475, défendait " aux hommes et femmes nommés caqueux de voyager dans le duché sans avoir une pièce de drap rouge sur leur robe pour éviter le danger que pourraient encourir ceux qui auraient commerce avec eux pour ne pas les connaître ".
On connaît les perplexités des savants méridionaux devant l'énigme indéchiffrable des Caquins ou Cagots, qu'on retrouve dans les Pyrénées comme en Bretagne. Est-ce aux Juifs, aux Goths, aux Sarrazins ; est-ce à une antique race venue par les îles qu'il faut les faire remonter ? Par delà la Garonne, on flotte encore entre ces hypothèses plus ou moins bizarres. Dans le Nord, la question est plus avancée pour ce qui est de ce pays de Bretagne...
". A travers quatre études historiques de la fin du XIXe siècle, on peut se faire une meilleure idée de ce que furent les races maudites en Bretagne, connues sous les noms de cacous, caquins, caqueux. Ainsi, une ordonnance ducale de 1456 leur reprochait durement d'avoir acquis des richesses par leur travail ; elle ne leur permettait de fabriquer que des cordes, des mesures à blé et quelques autres objets faciles à confectionner au dedans des maisons : mais pas de labourage, pas de commerce...
Et le dernier duc de Bretagne, François II, par son édit de 1475, défendait " aux hommes et femmes nommés caqueux de voyager dans le duché sans avoir une pièce de drap rouge sur leur robe pour éviter le danger que pourraient encourir ceux qui auraient commerce avec eux pour ne pas les connaître ".
". A travers quatre études historiques de la fin du XIXe siècle, on peut se faire une meilleure idée de ce que furent les races maudites en Bretagne, connues sous les noms de cacous, caquins, caqueux. Ainsi, une ordonnance ducale de 1456 leur reprochait durement d'avoir acquis des richesses par leur travail ; elle ne leur permettait de fabriquer que des cordes, des mesures à blé et quelques autres objets faciles à confectionner au dedans des maisons : mais pas de labourage, pas de commerce...
Et le dernier duc de Bretagne, François II, par son édit de 1475, défendait " aux hommes et femmes nommés caqueux de voyager dans le duché sans avoir une pièce de drap rouge sur leur robe pour éviter le danger que pourraient encourir ceux qui auraient commerce avec eux pour ne pas les connaître ".
